Malgré une tendance à la baisse des émissions de gaz à effet de serre en 2021, les efforts de la France pour lutter contre le réchauffement climatique demeurent insuffisants pour atteindre les objectifs fixés pour 2030, selon le 4e rapport du Haut Conseil pour le climat.
Système d’échanges de quotas d’émission de CO2 en vertu du principe pollueur-payeur, le marché du carbone mis en place par l'Union européenne (UE) a pour objectif de mesurer, contrôler et réduire les émissions de ses industries et de ses producteurs d'électricité. Retour en sept questions sur ce dispositif.
Tempêtes, inondations, canicule... Sous l'effet du dérèglement climatique, les phénomènes météorologiques sont de plus en plus nombreux. Le dispositif de vigilance météorologique, défini en 2001, permet d'alerter la population métropolitaine sur ces dangers potentiels et de communiquer sur les comportements à adopter.
L'hydrogène pourrait jouer un rôle important pour parvenir à la neutralité carbone à condition de "décarboner sa production". C'est ce que souligne France Stratégie dans un récent rapport sur les coûts de la décarbonation de l'hydrogène par rapport aux émissions de gaz à effet de serre évitées (coûts d'abattement).
La Conférence des parties (COP15) de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification se réunit à Abidjan, du 9 au 20 mai 2022. La désertification touche près de 12 millions d’hectares de terres chaque année et affecte 40% de la population mondiale.
L'ordonnance vient compléter les mesures déjà adoptées par la loi Climat et Résilience du 22 août 2021 afin d'adapter les zones littorales au recul du trait de côte. Ce phénomène naturel est amplifié par le réchauffement climatique, avec la hausse du niveau des mers et la multiplication des phénomènes climatiques extrêmes comme les tempêtes.
Le 4 avril 2022, les experts du climat de l'ONU qui font partie du Giec ont publié un nouveau rapport consacré aux solutions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Ces préconisations ont pour objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré celsius comme cela avait été convenu avec l'Accord de Paris en 2015.