Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) enquête, outre sur les prisons, sur l'hospitalisation sous contrainte en psychiatrie, les commissariats, les centres de rétention administrative (CRA), les centres éducatifs fermés... Dans ces différents lieux de privation de liberté, se pose la question du maintien de l'intimité.
Comment travaille le Contrôleur général des lieux de privation de liberté ? Comment est-il alerté sur les situations les plus critiques ? Quelle appréciation porte-t-il sur les conditions générales de la détention en France ?
Créé le 5 mai 1949, le Conseil de l'Europe agit en faveur du respect de la démocratie, des droits de l'homme et de l'État de droit. Quels sont les États membres de cette organisation intergouvernementale ? Le point en une carte.
Surpopulation carcérale persistante, faiblesse du budget quotidien par détenu, structures centralisées freinant l'expérimentation : voici quelques-unes des difficultés auxquelles est confronté le système pénitentiaire français. L'observation d'expériences étrangères permet d'identifier des leviers d'action potentiels.
La liberté religieuse fait partie des droits fondamentaux garantis par la puissance publique. Elle implique de pouvoir croire, pratiquer, changer ou abandonner une religion ou ne pas croire sans être inquiété par l'État ou par autrui.
La liberté d’opinion est une liberté fondamentale qui garantit à chaque individu de penser comme il le souhaite. Cette liberté ne peut être effective que si elle est accompagnée de la liberté d'expression.
On peut distinguer plusieurs catégories de droits reconnus aux citoyens, apparus successivement dans le temps. Ces droits sont tous garantis par l’État et par l’Union européenne.