Expertise sur les modalités de gestion des directives anticipées de fin de vie

Remis le :

Auteur(s) : Patricia Vienne ; Jean-Yves Laffont

Auteur(s) moral(aux) : Inspection générale des affaires sociales

Pour lire les formats PDF et ePub vous avez besoin d’un lecteur adapté.

A la demande de la ministre des affaires sociales, de la santé et du droit des femmes, l'IGAS a été chargée, en juillet 2015, « d'identifier le ou les opérateurs susceptibles de porter le nouveau registre national des directives anticipées prévu à l'article 8 du projet de loi créant des nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie, en cours d'examen au Parlement». Cet article prévoit « que toute personne majeure peut rédiger des directives anticipées pour le cas où elle serait un jour hors d'état d'exprimer sa volonté et que ces directives sont conservées sur un registre national ». Ces directives anticipées ainsi expriment la volonté de la personne relative à sa fin de vie en ce qui concerne les conditions de la poursuite, de la limitation, de l'arrêt ou du refus de traitement ou d'acte médicaux. La lettre de mission ministérielle précise que deux fonctions différentes liées au dispositif de registre national sont à distinguer : « la fonction de communication et de promotion des directives anticipées, auprès du public et des professionnels de santé et la fonction de gestion du registre informatisé des directives anticipées... ».

  • Type de document : Rapport d'inspection
  • Pagination : 64 pages
  • Édité par : Inspection générale des affaires sociales