Comme toutes les épidémies, le Covid-19 ignore les frontières et malmène la coopération internationale en matière de santé. Alors que la compétition entre les États s’exacerbe, notamment autour d’un vaccin, cette coopération multilatérale apparaît pourtant plus que jamais nécessaire.
La proposition de loi traduit le volet non financier des conclusions du Ségur de la santé. Elle traite des professions paramédicales, rénove la gouvernance des hôpitaux et permet de déployer les services d'accès aux soins (SAS) ainsi que la plateforme "Mon Parcours Handicap".
Depuis octobre 2020, 11 millions de Français ont activé l’application TousAntiCovid, qui contribue à lutter contre la propagation de l'épidémie de Covid-19. Le gouvernement appelle à amplifier ce déploiement pour optimiser l’efficacité du dispositif.
Après la présentation des recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS) pour la campagne de vaccination contre le Covid-19, le Gouvernement a annoncé sa stratégie vaccinale le 3 décembre 2020.
Le reste à charge après remboursement des soins de santé par l'assurance maladie est fortement lié à l'âge et aux types de dépenses de santé. En 2017, pour la moitié des patients, il atteint moins de 240 euros par an. Néanmoins, pour 1% des patients, ce reste à charge dépasse les 3 700 euros par an.
L'ordonnance permet de simplifier le fonctionnement des établissements publics et des instances collégiales administratives, pendant l'état d'urgence sanitaire, afin de limiter les déplacements.