Une étude de l'Insee montre une diminution sans précédent de la satisfaction générale dans la vie des Français depuis la pandémie de Covid-19. Paradoxalement, les privations matérielles et sociales sont en net recul, en raison principalement des restrictions sanitaires.
La doctrine française du maintien de l'ordre est confrontée à de nouvelles formes de mobilisation qui ont fait évoluer ses pratiques. Les méthodes des forces de l'ordre, jugées trop violentes, sont dénoncées par les manifestants tandis que le malaise s'accroît chez des forces de l'ordre qui estiment être perçues comme des "cibles".
Les 7 et 8 mai 2021 s'est déroulé le Sommet social de Porto dans le cadre de la présidence portugaise de l'Union européenne. S'inscrivant dans la continuité du Sommet de Göteborg de 2017, cette rencontre européenne avait pour objectif de déterminer les orientations de l'Union en terme de politique sociale pour les années à venir.
140 000 personnes touchées par des dérives sectaires. Entre thérapies “parallèles” et "défiance" à l’égard de la vaccination, ce phénomène constitue un point de vigilance majeur dans le contexte de la pandémie du Covid-19. C'est ce qui ressort en particulier d'un récent rapport sur les dérives sectaires.
Le choc de la crise sanitaire et les deux mois de confinement ne semblent pas avoir trop affecté le moral des Français. C’est ce que révèle une récente étude du Crédoc.
Du handicap à la pauvreté, de la précarité professionnelle à la relégation territoriale, une étude du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc), publiée en février 2020, dresse un état des lieux des différentes fragilités. Deux Français sur trois souffrent d'au moins une source de vulnérabilité.
Le mouvement des Gilets Jaunes de 2018 a été un révélateur d’un mal-être dans les territoires. Quelles en sont les causes et comment repenser les politiques territoriales pour y répondre ? C’est l’objet d’une note du conseil d’analyse économique adressée au gouvernement.
Les inégalités de patrimoine restent fortes en France. Selon les derniers chiffres de l'INSEE, en 2018, les 10% des Français les plus riches possèdent un tiers du patrimoine brut de l'ensemble des ménages.