Texte intégral
Les pays membres de l'Alliance atlantique sont vivement préoccupés par l'évolution de la situation dans les Républiques baltes, particulièrement par l'utilisation de la force militaire contre les institutions et les citoyens de Lituanie, et par les pertes en vies humaines qui en ont résulté.
- Les Alliés condamnent fermement le recours à la violence par l'armée soviétique, les actions entreprises pour ébranler les assises des autorités démocratiquement élues de la Lituanie et les manoeuvres d'intimidation menées contre d'autres Républiques baltes.
- Les Alliés appellent les autorités soviétiques à respecter pleinement les engagements que l'URSS a pris dans le cadre de la CSCE, et qui sont inscrits dans la toute récente Charte de Paris pour une nouvelle Europe, et à poursuivre sur la voie de la réforme pacifique et du changement démocratique. Les Alliés réaffirment leur appui à l'égard de ce processus.
- Les Alliés rappellent avec insistance le point de vue énoncé par le Conseil de l'Atlantique Nord en session ministérielle dans son communiqué publié le 18 décembre 1990. Ils y exprimaient leur soutien à l'égard des attentes et des aspirations légitimes des peuples baltes et soulignaient la nécessité d'y répondre par un large dialogue des autorités soviétiques avec les dirigeants démocratiquement élus, ce dialogue devant conduire à une solution négociée qui soit fondée sur les principes de l'Acte final d'Helsinki. Le communiqué contenait en outre un appel à la modération, adressé à toutes les parties concernées.
- Les Alliés observent que si cette conjoncture alarmante persistait et si, notamment, la force était de nouveau employée, cela aurait des conséquences négatives sur la situation politique de l'Europe dans son ensemble, de même que sur leurs relations avec l'Union soviétique.
- Le Conseil de l'Atlantique Nord continuera de suivre de très près la situation en Lituanie et dans les autres Républiques baltes.
- Les Alliés condamnent fermement le recours à la violence par l'armée soviétique, les actions entreprises pour ébranler les assises des autorités démocratiquement élues de la Lituanie et les manoeuvres d'intimidation menées contre d'autres Républiques baltes.
- Les Alliés appellent les autorités soviétiques à respecter pleinement les engagements que l'URSS a pris dans le cadre de la CSCE, et qui sont inscrits dans la toute récente Charte de Paris pour une nouvelle Europe, et à poursuivre sur la voie de la réforme pacifique et du changement démocratique. Les Alliés réaffirment leur appui à l'égard de ce processus.
- Les Alliés rappellent avec insistance le point de vue énoncé par le Conseil de l'Atlantique Nord en session ministérielle dans son communiqué publié le 18 décembre 1990. Ils y exprimaient leur soutien à l'égard des attentes et des aspirations légitimes des peuples baltes et soulignaient la nécessité d'y répondre par un large dialogue des autorités soviétiques avec les dirigeants démocratiquement élus, ce dialogue devant conduire à une solution négociée qui soit fondée sur les principes de l'Acte final d'Helsinki. Le communiqué contenait en outre un appel à la modération, adressé à toutes les parties concernées.
- Les Alliés observent que si cette conjoncture alarmante persistait et si, notamment, la force était de nouveau employée, cela aurait des conséquences négatives sur la situation politique de l'Europe dans son ensemble, de même que sur leurs relations avec l'Union soviétique.
- Le Conseil de l'Atlantique Nord continuera de suivre de très près la situation en Lituanie et dans les autres Républiques baltes.