Texte intégral
Pour célébrer le trentième anniversaire de la signature du Traité de Rome, le Gouvernement français a souhaité proposer à ses partenaires et à la Commission une nouvelle ambition.
- Consciente des défis redoutables auxquels se trouve confrontée la Communauté, notamment dans les domaines économiques et budgétaires, la France estime nécessaire de progresser dans deux secteurs où des réalisations sont encore peu nombreuses l'éducation et la culture.
- Trop souvent, on entend dire que l'Europe ne s'intéresse qu'à l'existence des agents économiques, en d'autres termes qu'elle se limite au domaine de "l'Europe des marchands". Je suis convaincu qu'il convient de renforcer la coopération dans l'éducation et dans la culture afin de contribuer de façon importante à la réalisation de "l'Europe des Hommes".
- L'Europe de la culture et de l'éducation, c'est d'abord un héritage et une tradition. L'Europe a commencé par là, quand un étudiant pouvait accomplir ses études dans les grandes universités de plusieurs de nos pays. C'est aussi une chance car la richesse et la variété de nos cultures sont pour l'Europe un atout formidable dans le monde contemporain. Cet atout nous ne l'avons pas encore suffisamment utilisé au niveau de nos douze pays. Enfin, aujourd'hui c'est une nécessité car les nouvelles technologies, notamment audiovisuelles, transcendent les frontières. Il nous appartient de nous unir pour mieux préserver et mieux échanger notre patrimoine commun, bref nous enrichir de notre diversité.
- Pour dépasser les divergences juridiques ou institutionnelles qui ont, trop souvent, fait obstacle aux initiatives proposées par les Etats membres ou par la Commission, le Gouvernement français propose une approche très pragmatique, permettant la mise en oeuvre d'actions concrètes, réalistes mais susceptibles d'avoir un effet d'entrainement.
- Cette démarche permettra, j'en suis convaincu, de progresser efficacement dans la voie d'une Europe de l'éducation et de la culture.
- Le Gouvernement français souhaite que l'approche proposée et les mesures concrètes envisagées fassent l'objet d'une discussion détaillée entre ministres et membres de la Commission intéressés, à l'occasion de réunions informelles.
- Consciente des défis redoutables auxquels se trouve confrontée la Communauté, notamment dans les domaines économiques et budgétaires, la France estime nécessaire de progresser dans deux secteurs où des réalisations sont encore peu nombreuses l'éducation et la culture.
- Trop souvent, on entend dire que l'Europe ne s'intéresse qu'à l'existence des agents économiques, en d'autres termes qu'elle se limite au domaine de "l'Europe des marchands". Je suis convaincu qu'il convient de renforcer la coopération dans l'éducation et dans la culture afin de contribuer de façon importante à la réalisation de "l'Europe des Hommes".
- L'Europe de la culture et de l'éducation, c'est d'abord un héritage et une tradition. L'Europe a commencé par là, quand un étudiant pouvait accomplir ses études dans les grandes universités de plusieurs de nos pays. C'est aussi une chance car la richesse et la variété de nos cultures sont pour l'Europe un atout formidable dans le monde contemporain. Cet atout nous ne l'avons pas encore suffisamment utilisé au niveau de nos douze pays. Enfin, aujourd'hui c'est une nécessité car les nouvelles technologies, notamment audiovisuelles, transcendent les frontières. Il nous appartient de nous unir pour mieux préserver et mieux échanger notre patrimoine commun, bref nous enrichir de notre diversité.
- Pour dépasser les divergences juridiques ou institutionnelles qui ont, trop souvent, fait obstacle aux initiatives proposées par les Etats membres ou par la Commission, le Gouvernement français propose une approche très pragmatique, permettant la mise en oeuvre d'actions concrètes, réalistes mais susceptibles d'avoir un effet d'entrainement.
- Cette démarche permettra, j'en suis convaincu, de progresser efficacement dans la voie d'une Europe de l'éducation et de la culture.
- Le Gouvernement français souhaite que l'approche proposée et les mesures concrètes envisagées fassent l'objet d'une discussion détaillée entre ministres et membres de la Commission intéressés, à l'occasion de réunions informelles.