Texte intégral
A la suite des déclarations de M. François Léotard, M. Jacques Chirac, Premier ministre, a convié le ministre de la culture et de la communication à venir le voir.
- Il lui a rappelé sa volonté de voir les membres du gouvernement se consacré au redressement de notre pays et à la gestion des départements ministériels qui leur ont été confiés, en ne prenant d'initiatives politiques qu'après lui en avoir référé.
- Il a donc invité M. Léotard à choisir désormais entre l'exercice de ses fonctions ministérielles et un rôle militant dans le mouvement politique auquel il appartient, le premier rôle étant incompatible avec le second.
- Pareille invitation vaut pour l'ensemble des membres du gouvernement, quelle que soit la formation à laquelle ils appartiennent. Il n'est pas de l'intérêt général d'ouvrir prématurément une campagne électorale.
- L'action de redressement a été engagée. Elle doit être poursuivie par un gouvernement solidaire et uni, au service de l'intérêt du pays. La France a besoin de calme, de travail et de solidarité.
- Il lui a rappelé sa volonté de voir les membres du gouvernement se consacré au redressement de notre pays et à la gestion des départements ministériels qui leur ont été confiés, en ne prenant d'initiatives politiques qu'après lui en avoir référé.
- Il a donc invité M. Léotard à choisir désormais entre l'exercice de ses fonctions ministérielles et un rôle militant dans le mouvement politique auquel il appartient, le premier rôle étant incompatible avec le second.
- Pareille invitation vaut pour l'ensemble des membres du gouvernement, quelle que soit la formation à laquelle ils appartiennent. Il n'est pas de l'intérêt général d'ouvrir prématurément une campagne électorale.
- L'action de redressement a été engagée. Elle doit être poursuivie par un gouvernement solidaire et uni, au service de l'intérêt du pays. La France a besoin de calme, de travail et de solidarité.