Texte intégral
Nous avons suivi avec préoccupation les informations récentes relatives à l'intensification des combats au Cambodge. A cet égard, nous souhaitons rappeler que le Conseil de sécurité et l'Assemblée générale des Nations unies ont unanimement demandé à toutes les parties au conflit de faire preuve de la plus grande retenue, afin de créer un climat propice à l'élaboration d'un règlement politique d'ensemble.
- Les co-Présidents de la Conférence de Paris sur le Cambodge espèrent pouvoir convoquer une réunion avec les membres du Conseil National Suprême d'ici la fin du printemps à Jakarta, dans le but de poursuivre la discussion des projets d'accord du 26 novembre 1990 et de rechercher les moyens de résoudre les questions en suspens. Nous lançons un appel pressant à toutes les parties au conflit en faveur d'une cessation temporaire des hostilités, à compter du 1er mai, et ce au moins jusqu'à la fin de la réunion de Jakarta. Ce geste de bonne volonté créerait un contexte favorable au succès de cette réunion. Nous espérons sincèrement que cet appel sera étudié avec sérieux et qu'il recevra une suite favorable.
- Les co-Présidents de la Conférence de Paris sur le Cambodge espèrent pouvoir convoquer une réunion avec les membres du Conseil National Suprême d'ici la fin du printemps à Jakarta, dans le but de poursuivre la discussion des projets d'accord du 26 novembre 1990 et de rechercher les moyens de résoudre les questions en suspens. Nous lançons un appel pressant à toutes les parties au conflit en faveur d'une cessation temporaire des hostilités, à compter du 1er mai, et ce au moins jusqu'à la fin de la réunion de Jakarta. Ce geste de bonne volonté créerait un contexte favorable au succès de cette réunion. Nous espérons sincèrement que cet appel sera étudié avec sérieux et qu'il recevra une suite favorable.