Texte intégral
Les Cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies ont tenu leur cinquième réunion sur le Cambodge à Paris les 16 et 17 juillet 1990.
- Durant cette réunion, ils ont examiné les éléments nouveaux concernant la situation au Cambodge survenus depuis leur dernière rencontre à New-York les 25-26 mai, y compris les résultats de la récente rencontre de Tokyo au début juin.
- Les Cinq ont fait des progrès significatifs sur deux questions-clés d'une solution fondée sur un rôle étendu des Nations unies : les arrangements transitoires concernant l'administration du Cambodge durant la période précédant les élections et les arrangements militaires. Ils sont convenus d'accélérer leurs travaux dans les autres domaines (Les élections libres et équitables, la défense des Droits de l'Homme et les garanties internationales) qui ont été identifiés lors de leurs réunion de New-York comme des aspects essentiels d'un accord politique global.
- A leur demande, M. Raffeeuddin Ahmed, secrétaire général adjoint des Nations unies, s'est joint à la réunion pour donner son avis sur les aspects pratiques d'un engagement des Nations unies à la lumière des récentes missions de reconnaissance des Nations-Unies au Cambodge.
- Les Cinq ont clairement exprimé leur conviction qu'il était plus que temps pour les parties cambodgiennes de renoncer aux affrontements militaires pour rejoindre la table de négociation, afin de jouer leur rôle dans la recherche d'un règlement politique global.
- Rappelant leurs précédentes déclarations par lesquelles les Cinq ont marqué leur accord pour les rencontrer au moment opportun, les Cinq ont demandé aux parties cambodgiennes de se mettre d'accord sur la création, à une date rapprochée, en tant que partie intégrante d'un règlement politique d'ensemble, d'un Conseil national suprême composé de personnalités représentatives à l'autorité reconnue parmi les Cambodgiens, pour contribuer à créer les conditions d'une telle réunion.
- Les Cinq sont convenus de tenir leur prochaine réunion à New-York les 27 et 28 août 1990.
- Durant cette réunion, ils ont examiné les éléments nouveaux concernant la situation au Cambodge survenus depuis leur dernière rencontre à New-York les 25-26 mai, y compris les résultats de la récente rencontre de Tokyo au début juin.
- Les Cinq ont fait des progrès significatifs sur deux questions-clés d'une solution fondée sur un rôle étendu des Nations unies : les arrangements transitoires concernant l'administration du Cambodge durant la période précédant les élections et les arrangements militaires. Ils sont convenus d'accélérer leurs travaux dans les autres domaines (Les élections libres et équitables, la défense des Droits de l'Homme et les garanties internationales) qui ont été identifiés lors de leurs réunion de New-York comme des aspects essentiels d'un accord politique global.
- A leur demande, M. Raffeeuddin Ahmed, secrétaire général adjoint des Nations unies, s'est joint à la réunion pour donner son avis sur les aspects pratiques d'un engagement des Nations unies à la lumière des récentes missions de reconnaissance des Nations-Unies au Cambodge.
- Les Cinq ont clairement exprimé leur conviction qu'il était plus que temps pour les parties cambodgiennes de renoncer aux affrontements militaires pour rejoindre la table de négociation, afin de jouer leur rôle dans la recherche d'un règlement politique global.
- Rappelant leurs précédentes déclarations par lesquelles les Cinq ont marqué leur accord pour les rencontrer au moment opportun, les Cinq ont demandé aux parties cambodgiennes de se mettre d'accord sur la création, à une date rapprochée, en tant que partie intégrante d'un règlement politique d'ensemble, d'un Conseil national suprême composé de personnalités représentatives à l'autorité reconnue parmi les Cambodgiens, pour contribuer à créer les conditions d'une telle réunion.
- Les Cinq sont convenus de tenir leur prochaine réunion à New-York les 27 et 28 août 1990.