Texte intégral
Les représentants des 25 parties consultatives (Afrique du Sud, République fédérale d'Allemagne, République démocratique allemande, Argentine, Australie, Belgique, Brésil, Chili, Chine, Espagne, Etats-Unis d'Amérique, Finlande, France, Inde, Italie, Japon, Norvège, Nouvelle-Zélande, Pérou, Pologne, République de Corée, Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, Suède, Union des Républiques socialistes soviétiques et Uruguay) se sont réunis à Paris du 9 au 20 octobre 1989 à l'occasion de la XVème Conférence consultative du Traité de l'Antarctique, qui a été ouverte par le Premier ministre français, M. Michel Rocard.
- A l'invitation des parties consultatives, les délégations des parties contractantes au Traité sur l'Antarctique qui ne sont pas parties consultatives (Autriche, Bulgarie, Canada, Colombie, Cuba, Danemark, Equateur, Grèce, Hongrie, Pays-Bas, République populaire démocratique de Corée, Roumanie et Tchécoslovaquie) ont assisté à cette conférence.
- Conformément au règlement intérieur des conférences consultatives, le Comité scientifique pour la recherche en Antarctique ainsi que la Commission pour la conservation de la faune et de la flore marines de l'Antarctique ont également participé à cette réunion en qualité d'observateurs et d'experts.
- Enfin, plusieurs organisations internationales ont été invitées : le Bureau hydrographique international, la Commission océanographique intergouvernementale, le Groupe intergouvernemental sur l'évolution climatique, l'Organisation de l'aviation civile internationale, l'Organisation maritime internationale, l'Organisation météorologique mondiale, l'Union internationale pour la conservation de la nature et de ses ressources.
- Les travaux de cette Conférence ont essentiellement porté sur la protection de l'environnement en Antarctique et ont abouti à l'adoption de 12 recommandations sur ce thème adressées aux gouvernements des Etats membres.
- Des mesures ont été adoptées pour la mise en oeuvre de procédures d'évaluation de l'impact des activités humaines sur l'environnement dans cette zone, le code de conduite relatif à l'élimination des déchets engendrés par la présence humaine a été renforcé et un ensemble de propositions destinées à éviter la pollution marine a été approuvé.
Le système des zones protégées de l'Antarctique a été renforcé, notamment grace à la création de deux nouvelles catégories.
- Une attention particulière a été portée aux mesures propres à promouvoir la coopération scientifique internationale. La coordination en matière de recherche scientifique et la coopération dans le domaine des soutiens logistiques ont fait l'objet d'un examen approfondi.
- Préoccupée par les répercussions du tourisme et des expéditions non-gouvernementales dans la région d'application du traité, la Conférence a proposé des mesures destinées à s'assurer que ces activités n'entrainaient pas d'effets nuisibles sur l'environnement et ne perturbaient pas les activités scientifiques.
- Plusieurs recommandations ont été adoptées pour améliorer la coordination dans les domaines de la météorologie, des télécommunications et de l'hydrométéorologie.
- Les conclusions de la réunion d'experts sur la sécurité aérienne, tenue à Paris en mai 1989, ont été retenues et ont fait l'objet de recommandations qui permettront de doter cette partie du monde des moyens de coordination et de secours indispensables.
- Sensible aux préoccupations de la communauté internationale et agissant conformément à la vocation traditionnelle du système du Traité sur l'Antarctique, la Conférence a adopté une recommandation par laquelle sera convoquée en 1990, une réunion consultative spéciale consacrée à la réalisation d'un système global de protection en Antarctique et des écosystèmes dépendants et associés. Lors de cette réunion seraient explorées et discutées toutes les propositions présentées à ce sujet, y inclus celles présentées pendant la XVème Conférence consultative du Traité sur l'Antarctique. Il a été également décidé qu'une réunion se tiendrait en 1990 afin d'explorer et de discuter toute proposition concernant l'article 8 (7) de la Convention sur la règlementation des activités relatives aux ressources minérales.
- La XVème Conférence consultative se tiendra en 1991 en République fédérale d'Allemagne.
- A l'invitation des parties consultatives, les délégations des parties contractantes au Traité sur l'Antarctique qui ne sont pas parties consultatives (Autriche, Bulgarie, Canada, Colombie, Cuba, Danemark, Equateur, Grèce, Hongrie, Pays-Bas, République populaire démocratique de Corée, Roumanie et Tchécoslovaquie) ont assisté à cette conférence.
- Conformément au règlement intérieur des conférences consultatives, le Comité scientifique pour la recherche en Antarctique ainsi que la Commission pour la conservation de la faune et de la flore marines de l'Antarctique ont également participé à cette réunion en qualité d'observateurs et d'experts.
- Enfin, plusieurs organisations internationales ont été invitées : le Bureau hydrographique international, la Commission océanographique intergouvernementale, le Groupe intergouvernemental sur l'évolution climatique, l'Organisation de l'aviation civile internationale, l'Organisation maritime internationale, l'Organisation météorologique mondiale, l'Union internationale pour la conservation de la nature et de ses ressources.
- Les travaux de cette Conférence ont essentiellement porté sur la protection de l'environnement en Antarctique et ont abouti à l'adoption de 12 recommandations sur ce thème adressées aux gouvernements des Etats membres.
- Des mesures ont été adoptées pour la mise en oeuvre de procédures d'évaluation de l'impact des activités humaines sur l'environnement dans cette zone, le code de conduite relatif à l'élimination des déchets engendrés par la présence humaine a été renforcé et un ensemble de propositions destinées à éviter la pollution marine a été approuvé.
Le système des zones protégées de l'Antarctique a été renforcé, notamment grace à la création de deux nouvelles catégories.
- Une attention particulière a été portée aux mesures propres à promouvoir la coopération scientifique internationale. La coordination en matière de recherche scientifique et la coopération dans le domaine des soutiens logistiques ont fait l'objet d'un examen approfondi.
- Préoccupée par les répercussions du tourisme et des expéditions non-gouvernementales dans la région d'application du traité, la Conférence a proposé des mesures destinées à s'assurer que ces activités n'entrainaient pas d'effets nuisibles sur l'environnement et ne perturbaient pas les activités scientifiques.
- Plusieurs recommandations ont été adoptées pour améliorer la coordination dans les domaines de la météorologie, des télécommunications et de l'hydrométéorologie.
- Les conclusions de la réunion d'experts sur la sécurité aérienne, tenue à Paris en mai 1989, ont été retenues et ont fait l'objet de recommandations qui permettront de doter cette partie du monde des moyens de coordination et de secours indispensables.
- Sensible aux préoccupations de la communauté internationale et agissant conformément à la vocation traditionnelle du système du Traité sur l'Antarctique, la Conférence a adopté une recommandation par laquelle sera convoquée en 1990, une réunion consultative spéciale consacrée à la réalisation d'un système global de protection en Antarctique et des écosystèmes dépendants et associés. Lors de cette réunion seraient explorées et discutées toutes les propositions présentées à ce sujet, y inclus celles présentées pendant la XVème Conférence consultative du Traité sur l'Antarctique. Il a été également décidé qu'une réunion se tiendrait en 1990 afin d'explorer et de discuter toute proposition concernant l'article 8 (7) de la Convention sur la règlementation des activités relatives aux ressources minérales.
- La XVème Conférence consultative se tiendra en 1991 en République fédérale d'Allemagne.