Texte intégral
A la suite de l'attentat contre le Rainbow Warrior, en juillet 1985, le commandant Mafart et le capitaine Prieur ont été condamnés à dix ans de prison par la justice néo-zélandaise.
- Dès son entrée en fonction, en mars 1986, le gouvernement de M. Jacques Chirac a déployé tous ses efforts pour obtenir la libération des deux officiers français. Il y est parvenu en juillet 1986, au terme de trois mois de négociations serrées avec la Nouvelle Zélande. Le commandant Mafart et le capitaine Prieur ont alors pu quitter leur lieu de détention en Nouvelle Zélande et ont été affectés à la base militaire française de Hao.
- Le commandant Mafart a été rapatrié d'urgence en métropole, pour raisons de santé impérieuses, en décembre 1987.
- Le gouvernement a appris, il y a quelques jours, que Mme Dominique Prieur était enceinte. Le gouvernement néo-zélandais en a été immédiatement informé en même temps qu'il était invité, en application de l'accord franco-néo-zélandais du 9 juillet 1986, à procéder à une expertise médicale. La base militaire de Hao ne disposant pas des facilités médicales appropriées, le rapatriement, vers la métropole, de Dominique Prieur a été décidé et est actuellement en cours.
- Ce retour revêt, en outre, un caractère d'urgence particulier pour des raisons familiales graves.
- Dès son entrée en fonction, en mars 1986, le gouvernement de M. Jacques Chirac a déployé tous ses efforts pour obtenir la libération des deux officiers français. Il y est parvenu en juillet 1986, au terme de trois mois de négociations serrées avec la Nouvelle Zélande. Le commandant Mafart et le capitaine Prieur ont alors pu quitter leur lieu de détention en Nouvelle Zélande et ont été affectés à la base militaire française de Hao.
- Le commandant Mafart a été rapatrié d'urgence en métropole, pour raisons de santé impérieuses, en décembre 1987.
- Le gouvernement a appris, il y a quelques jours, que Mme Dominique Prieur était enceinte. Le gouvernement néo-zélandais en a été immédiatement informé en même temps qu'il était invité, en application de l'accord franco-néo-zélandais du 9 juillet 1986, à procéder à une expertise médicale. La base militaire de Hao ne disposant pas des facilités médicales appropriées, le rapatriement, vers la métropole, de Dominique Prieur a été décidé et est actuellement en cours.
- Ce retour revêt, en outre, un caractère d'urgence particulier pour des raisons familiales graves.