Texte intégral
Conformément aux positions adoptées dès le début de la crise par la Communauté et ses Etats-membres, les ministres réitèrent leur ferme engagement en faveur de l'application intégrale et inconditionnelle des résolutions pertinentes du Conseil de Sécurité des Nations unies. Dans cette hypothèse, ils sont d'avis que l'Irak devrait recevoir l'assurance qu'il ne fera pas l'objet d'une intervention militaire. Ils rappellent par conséquent que l'entière responsabilité de la guerre ou de la paix incombe au seul gouvernement irakien, comme il est dans la résolution 678 du Conseil de sécurité de l'ONU.
- Toute démarche tendant à promouvoir des solutions partielles, voire à établir un lien entre la pleine application des résolutions du Conseil de Sécurité et d'autres problèmes est inacceptable.
- En réaffirmant leur attachement à une solution pacifique dans le respect intégral des résolutions pertinentes du Conseil de Sécurité des Nations Unies, la Communauté et ses Etats-membres se félicitent qu'une rencontre ait pu être convenue entre le secrétaire d'Etat américain M. James Baker et le ministre des affaires étrangères irakien M. Tarek Aziz.
- Conformément à la déclaration adoptée par le Conseil européen de Rome le 15 décembre 1990, les ministres ont demandé à la Présidence d'inviter le Chef de la diplomatie irakienne à rencontrer la Troïka à Luxembourg le 10 janvier prochain. La Présidence reste en consultation étroite avec les Etats-Unis, les pays arabes intéressés et la Présidence du mouvement des non-alignés, en vue de préparer les deux rencontres.
- Dans l'esprit de ce qui précède, et dès lors que la crise actuelle aura trouvé une issue pacifique dans le respect intégral des résolutions du Conseil de Sécurité des Nations unies, la Communauté et ses Etats membres confirment leur engagement à contribuer activement au règlement des autres problèmes de la région et à y établir une situation de sécurité, de stabilité et de développement.
- Deuxième communiqué :
- La France est vivement préoccupée par la situation au Tchad caractérisée par des actions de forces de bandes armées incontrolées qui font peser une menace sur la sécurité des populations civiles. Ces actions violentes interviennent alors que le président Idriss Deby a amorcé un processus démocratique que la France soutient.
- Face à cette situation, la France, qui compte au Tchad de nombreux ressortissants, a décidé de renforcer sa présence militaire à N'Djemana. Elle se tient en contact permanent avec le Gouvernement tchadien et le chef de l'Etat.
- Toute démarche tendant à promouvoir des solutions partielles, voire à établir un lien entre la pleine application des résolutions du Conseil de Sécurité et d'autres problèmes est inacceptable.
- En réaffirmant leur attachement à une solution pacifique dans le respect intégral des résolutions pertinentes du Conseil de Sécurité des Nations Unies, la Communauté et ses Etats-membres se félicitent qu'une rencontre ait pu être convenue entre le secrétaire d'Etat américain M. James Baker et le ministre des affaires étrangères irakien M. Tarek Aziz.
- Conformément à la déclaration adoptée par le Conseil européen de Rome le 15 décembre 1990, les ministres ont demandé à la Présidence d'inviter le Chef de la diplomatie irakienne à rencontrer la Troïka à Luxembourg le 10 janvier prochain. La Présidence reste en consultation étroite avec les Etats-Unis, les pays arabes intéressés et la Présidence du mouvement des non-alignés, en vue de préparer les deux rencontres.
- Dans l'esprit de ce qui précède, et dès lors que la crise actuelle aura trouvé une issue pacifique dans le respect intégral des résolutions du Conseil de Sécurité des Nations unies, la Communauté et ses Etats membres confirment leur engagement à contribuer activement au règlement des autres problèmes de la région et à y établir une situation de sécurité, de stabilité et de développement.
- Deuxième communiqué :
- La France est vivement préoccupée par la situation au Tchad caractérisée par des actions de forces de bandes armées incontrolées qui font peser une menace sur la sécurité des populations civiles. Ces actions violentes interviennent alors que le président Idriss Deby a amorcé un processus démocratique que la France soutient.
- Face à cette situation, la France, qui compte au Tchad de nombreux ressortissants, a décidé de renforcer sa présence militaire à N'Djemana. Elle se tient en contact permanent avec le Gouvernement tchadien et le chef de l'Etat.