Texte intégral
La Fédération de Russie et la Communauté et ses Etats membres sont profondément préoccupés par la poursuite du conflit à propos du Haut-Karabakh, qui menace de se transformer en une guerre longue et meurtrière. Une telle évolution aurait des conséquences tragiques pour les peuples arménien et azeri et pourrait menacer la sécurité régionale et internationale.
- C'est pourquoi la Communauté européenne et ses Etats membres et la Fédération de Russie demandent instamment aux antagonistes de respecter le cessez-le-feu immédiat qu'elles sont convenues de demander à Moscou le 20 février - cessez-le-feu qui a également été demandé par les hauts fonctionnaires de la CSCE réunis à Prague le 28 janvier - avant que la situation ne se détériore encore davantage. Il est urgent et nécessaire qu'elles commencent sans plus attendre à mettre en oeuvre les décisions prises lors de cette réunion.
- La Communauté européenne et ses Etats membres et la Fédération de Russie se félicitent de ce que les Etats participants à la CSCE aient demandé au président en exercice de la CSCE de se tenir prêt à participer aux efforts de médiation si nécessaire. A cet égard, ils soulignent l'importance de la réunion du comité des hauts fonctionnaires qui doit avoir lieu le 11 mars.
- La Communauté et ses Etats membres expriment leur soutien pour les efforts de médiation entrepris par la Fédération de Russie tels qu'ils se sont manifestés par les initiatives prises par le président de la Russie et par la réunion qui s'est tenue le 20 février à Moscou entre les ministres des affaires étrangères de l'Arménie, de l'Azerbaidjan et de la Russie, à l'initiative de ce dernier. La mise en oeuvre des accords conclus lors de cette réunion pourrait réduire les tensions à propos du Haut-Karabakh et créer les conditions nécessaires à des négociations de fond.
- La Communauté et ses Etats membres et la Fédération de Russie appuient l'appel lancé en faveur de l'établissement de corridors protégés destinés à l'acheminement de l'aide humanitaire, conformément à la demande du président en exercice de la CSCE. Ils se félicitent de ce que les parties au conflit acceptent que le comité international de la Croix-Rouge intervienne dans le conflit et espèrent que le CICR et d'autres organisations non gouvernementales joueront le rôle principal dans l'apport humanitaire aux victimes du conflit.
- La Fédération de Russie et la Communauté et ses Etats membres lancent un appel insistant aux deux parties au conflit pour qu'elles respectent la lettre et l'esprit de l'acte final d'Helsinki et de la Charte de Paris, ainsi que les principes qui guident l'action des Nations unies.
- C'est pourquoi la Communauté européenne et ses Etats membres et la Fédération de Russie demandent instamment aux antagonistes de respecter le cessez-le-feu immédiat qu'elles sont convenues de demander à Moscou le 20 février - cessez-le-feu qui a également été demandé par les hauts fonctionnaires de la CSCE réunis à Prague le 28 janvier - avant que la situation ne se détériore encore davantage. Il est urgent et nécessaire qu'elles commencent sans plus attendre à mettre en oeuvre les décisions prises lors de cette réunion.
- La Communauté européenne et ses Etats membres et la Fédération de Russie se félicitent de ce que les Etats participants à la CSCE aient demandé au président en exercice de la CSCE de se tenir prêt à participer aux efforts de médiation si nécessaire. A cet égard, ils soulignent l'importance de la réunion du comité des hauts fonctionnaires qui doit avoir lieu le 11 mars.
- La Communauté et ses Etats membres expriment leur soutien pour les efforts de médiation entrepris par la Fédération de Russie tels qu'ils se sont manifestés par les initiatives prises par le président de la Russie et par la réunion qui s'est tenue le 20 février à Moscou entre les ministres des affaires étrangères de l'Arménie, de l'Azerbaidjan et de la Russie, à l'initiative de ce dernier. La mise en oeuvre des accords conclus lors de cette réunion pourrait réduire les tensions à propos du Haut-Karabakh et créer les conditions nécessaires à des négociations de fond.
- La Communauté et ses Etats membres et la Fédération de Russie appuient l'appel lancé en faveur de l'établissement de corridors protégés destinés à l'acheminement de l'aide humanitaire, conformément à la demande du président en exercice de la CSCE. Ils se félicitent de ce que les parties au conflit acceptent que le comité international de la Croix-Rouge intervienne dans le conflit et espèrent que le CICR et d'autres organisations non gouvernementales joueront le rôle principal dans l'apport humanitaire aux victimes du conflit.
- La Fédération de Russie et la Communauté et ses Etats membres lancent un appel insistant aux deux parties au conflit pour qu'elles respectent la lettre et l'esprit de l'acte final d'Helsinki et de la Charte de Paris, ainsi que les principes qui guident l'action des Nations unies.