Texte intégral
Premier communiqué.
- La prolongation d'un mois de la garde à vue des onze Français de Première urgence constitue une décision inacceptable.
- La France continue d'exiger la libération immédiate et sans condition de tous nos compatriotes. C'est le message qui a été transmis directement aux autorités serbes par le Secrétariat général du ministère des affaires étrangères.
- La France tient pour responsables aussi bien les autorités fédérales de Yougoslavie que les responsables serbes de Bosnie.
- Le ministère des affaires étrangères reste en contact étroit avec les familles et les dirigeants de l'association.
- Deuxième communiqué.
- La France se réjouit de la libération de nos onze compatriotes de l'organisation humanitaire "Première urgence", détenus à proximité de Sarajevo depuis le 8 avril.
- Cette libération intervient aux termes de pressions directes sur les principales parties concernées à Paris et sur place. Le ministre des affaires étrangères est intervenu personnellement à plusieurs reprises auprès des autorités yougoslaves, notamment en dépêchant le secrétaire général du Quai d'Orsay à Belgrade et en faisant multiplier les démarches auprès de tous les responsables serbes. Notre ambassadeur en Bosnie, en liaison avec le médecin du service de l'Action humanitaire du ministère des affaires étrangères, s'est tenu en contact quotidien avec nos compatriotes.
- Indignés par cette prise d'otages, conscients des conditions de détention de nos compatriotes et de l'inquiétude des familles avec lesquelles un contact permanent a été maintenu, nous avons mobilisé nos principaux partenaires occidentaux et russes ainsi que la Présidence grecque de l'Union européenne, le co-président européen de la Conférence sur l'ex-Yougoslavie, et le secrétaire général des Nations unies. Nous remercions tous ceux qui sont intervenus aux côtés de la France pour obtenir cette libération.
- La prolongation d'un mois de la garde à vue des onze Français de Première urgence constitue une décision inacceptable.
- La France continue d'exiger la libération immédiate et sans condition de tous nos compatriotes. C'est le message qui a été transmis directement aux autorités serbes par le Secrétariat général du ministère des affaires étrangères.
- La France tient pour responsables aussi bien les autorités fédérales de Yougoslavie que les responsables serbes de Bosnie.
- Le ministère des affaires étrangères reste en contact étroit avec les familles et les dirigeants de l'association.
- Deuxième communiqué.
- La France se réjouit de la libération de nos onze compatriotes de l'organisation humanitaire "Première urgence", détenus à proximité de Sarajevo depuis le 8 avril.
- Cette libération intervient aux termes de pressions directes sur les principales parties concernées à Paris et sur place. Le ministre des affaires étrangères est intervenu personnellement à plusieurs reprises auprès des autorités yougoslaves, notamment en dépêchant le secrétaire général du Quai d'Orsay à Belgrade et en faisant multiplier les démarches auprès de tous les responsables serbes. Notre ambassadeur en Bosnie, en liaison avec le médecin du service de l'Action humanitaire du ministère des affaires étrangères, s'est tenu en contact quotidien avec nos compatriotes.
- Indignés par cette prise d'otages, conscients des conditions de détention de nos compatriotes et de l'inquiétude des familles avec lesquelles un contact permanent a été maintenu, nous avons mobilisé nos principaux partenaires occidentaux et russes ainsi que la Présidence grecque de l'Union européenne, le co-président européen de la Conférence sur l'ex-Yougoslavie, et le secrétaire général des Nations unies. Nous remercions tous ceux qui sont intervenus aux côtés de la France pour obtenir cette libération.