Texte intégral
Le Premier ministre a adressé, le 30 juillet, les lettres-plafonds fixant le maximum de dépenses autorisées pour chaque ministère en 1993.
- La progression globale des dépenses a été limitée à 3,5 % et les priorités du Gouvernement seront financées, grâce à un redéploiement des dépenses publiques en leur faveur.
- L'Education nationale connaîtra une nouvelle progression importante de ses moyens, en emplois (10000 emplois supplémentaires) et en crédits (+ 7,2 %). De même, la Justice et la Sécurité Publique bénéficieront d'un effort accru, avec des moyens en augmentation de 6,7 % et 5,3 %. Enfin, le budget de l'emploi, avec une progression de 5,5 %, pourra contribuer activement à la lutte contre le chômage.
- Comme en 1992, le produit des cessions d'actifs servira à financer les dotations en capital et des dépenses exceptionnelles en faveur de l'emploi, correspondant aux actions lancées en 1992.
- L'information sur le détail des crédits budgétaires proposés pour chaque ministère sera donné ultérieurement lors de la présentation du projet de loi de Finances, afin de respecter les droits du Parlement.
- La progression globale des dépenses a été limitée à 3,5 % et les priorités du Gouvernement seront financées, grâce à un redéploiement des dépenses publiques en leur faveur.
- L'Education nationale connaîtra une nouvelle progression importante de ses moyens, en emplois (10000 emplois supplémentaires) et en crédits (+ 7,2 %). De même, la Justice et la Sécurité Publique bénéficieront d'un effort accru, avec des moyens en augmentation de 6,7 % et 5,3 %. Enfin, le budget de l'emploi, avec une progression de 5,5 %, pourra contribuer activement à la lutte contre le chômage.
- Comme en 1992, le produit des cessions d'actifs servira à financer les dotations en capital et des dépenses exceptionnelles en faveur de l'emploi, correspondant aux actions lancées en 1992.
- L'information sur le détail des crédits budgétaires proposés pour chaque ministère sera donné ultérieurement lors de la présentation du projet de loi de Finances, afin de respecter les droits du Parlement.