Texte intégral
Le Premier ministre a signé aujourd'hui les lettres fixant à chacun des ministres le plafond des dépenses dont il bénéficie pour le budget 1996.
- Après la loi de finances rectificative qui a montré la voie à suivre en combinant un dispositif sans précédent de lutte contre le chômage et de lutte contre les déficits publics pour les ramener à 5 % du PIB, le projet de loi de finances pour 1996 amplifiera l'action engagée, dont les premiers résultats positifs commencent à se manifester.
- Avec une évolution globale des charges au rythme de la hausse des prix par rapport à la loi de finances rectificative pour 1995, ces plafonds confirment la volonté du Gouvernement de réduire le déficit par la maîtrise de la dépense publique afin de soutenir la croissance au service de l'emploi. Cette évolution permettra de fixer le solde à un niveau compatible avec un déficit global de 4 % du PIB pour l'ensemble des comptes publics.
- Cette maîtrise générale de la dépense et les sacrifices qu'elle impose permettront de traduire pleinement les priorités gouvernementales, qu'il s'agisse des dispositifs de lutte pour l'emploi dont les moyens progressent de 6,7 %, de la solidarité et de la lutte contre l'exclusion dont les moyens progressent de 4 %, ou de la justice dont les moyens progressent de 5,6 %. Les dépenses arrêtées permettent notamment la mise en oeuvre d'une importante réforme de l'accession à la propriété. Enfin, conformément aux engagements du Président de la République, le budget de la culture représentera 1 % du total des dépenses de l'Etat.
- Le projet de loi de finances pour 1996 marquera ainsi une étape essentielle dans la voie tracée par le Gouvernement, qu'il s'agisse de se mobiliser en faveur de l'emploi ou de mettre en oeuvre les réformes attendues par les Français, en particulier pour réduire la fracture sociale.
- Après la loi de finances rectificative qui a montré la voie à suivre en combinant un dispositif sans précédent de lutte contre le chômage et de lutte contre les déficits publics pour les ramener à 5 % du PIB, le projet de loi de finances pour 1996 amplifiera l'action engagée, dont les premiers résultats positifs commencent à se manifester.
- Avec une évolution globale des charges au rythme de la hausse des prix par rapport à la loi de finances rectificative pour 1995, ces plafonds confirment la volonté du Gouvernement de réduire le déficit par la maîtrise de la dépense publique afin de soutenir la croissance au service de l'emploi. Cette évolution permettra de fixer le solde à un niveau compatible avec un déficit global de 4 % du PIB pour l'ensemble des comptes publics.
- Cette maîtrise générale de la dépense et les sacrifices qu'elle impose permettront de traduire pleinement les priorités gouvernementales, qu'il s'agisse des dispositifs de lutte pour l'emploi dont les moyens progressent de 6,7 %, de la solidarité et de la lutte contre l'exclusion dont les moyens progressent de 4 %, ou de la justice dont les moyens progressent de 5,6 %. Les dépenses arrêtées permettent notamment la mise en oeuvre d'une importante réforme de l'accession à la propriété. Enfin, conformément aux engagements du Président de la République, le budget de la culture représentera 1 % du total des dépenses de l'Etat.
- Le projet de loi de finances pour 1996 marquera ainsi une étape essentielle dans la voie tracée par le Gouvernement, qu'il s'agisse de se mobiliser en faveur de l'emploi ou de mettre en oeuvre les réformes attendues par les Français, en particulier pour réduire la fracture sociale.