Texte intégral
Au terme des travaux qui ont réuni les deux délégations, le ministre fédéral de la coopération économique et du développement, Carl Dieter Spranger, et son homologue français Michel Roussin, réitèrent leur soutien à l'Afrique, en rejetant tout "afro-pessimisme". Ils ont affirmé que les bailleurs de fonds devaient mettre tout en oeuvre pour tirer le meilleur parti des possibilités de développement qui existent en Afrique.
- La mobilisation de ressources financières nouvelles étant de plus en plus difficiles, les bailleurs de fonds doivent plus que jamais coordonner efficacement leurs efforts d'aide. C'est vrai en particulier pour la Communauté européenne et les pays qui la composent. L'Allemagne et la France y veilleront.
- Les deux parties ont fait un large tour d'horizon de leurs interventions en Afrique subsaharienne. Elles ont constaté que, sur de nombreux sujets, leur action était convergente. De la lutte contre la pauvreté au soutien aux programmes d'intégration régionale en passant par la promotion de l'éducation et de la formation, les politiques française et allemande sont communes. Elles ont pour objectif de rendre plus facile les réformes économiques indispensables à un retour à la croissance en Afrique du Sud du Sahara.
- Les deux ministres ont cependant estimé que la réussite de cette action concertée ne serait durable que si les responsables politiques et économiques des pays partenaires mettaient tout en oeuvre pour mobiliser efficacement leur potentiel. Ils ont réaffirmé la nécessité de promouvoir un environnement où soit garanti le respect des droits de l'homme et des règles démocratiques et où puissent s'épanouir les forces créatives de l'individu.
- Faisant allusion à la discussion qui a actuellement lieu dans le cadre de l'OCDE au sujet de la révision de la liste des pays bénéficiaires d'aide du CAD, MM. Spranger et Roussin ont préconisé que la lutte contre la pauvreté continue d'occuper le premier rang des objectifs assignés à l'aide internationale. Dans ces conditions, les deux ministres ont réaffirmé leur commune priorité pour l'aide à l'Afrique, mais ils ont précisé que toute révision de la liste devrait prendre en compte la situation de nouveaux pays déshérités.
- La mobilisation de ressources financières nouvelles étant de plus en plus difficiles, les bailleurs de fonds doivent plus que jamais coordonner efficacement leurs efforts d'aide. C'est vrai en particulier pour la Communauté européenne et les pays qui la composent. L'Allemagne et la France y veilleront.
- Les deux parties ont fait un large tour d'horizon de leurs interventions en Afrique subsaharienne. Elles ont constaté que, sur de nombreux sujets, leur action était convergente. De la lutte contre la pauvreté au soutien aux programmes d'intégration régionale en passant par la promotion de l'éducation et de la formation, les politiques française et allemande sont communes. Elles ont pour objectif de rendre plus facile les réformes économiques indispensables à un retour à la croissance en Afrique du Sud du Sahara.
- Les deux ministres ont cependant estimé que la réussite de cette action concertée ne serait durable que si les responsables politiques et économiques des pays partenaires mettaient tout en oeuvre pour mobiliser efficacement leur potentiel. Ils ont réaffirmé la nécessité de promouvoir un environnement où soit garanti le respect des droits de l'homme et des règles démocratiques et où puissent s'épanouir les forces créatives de l'individu.
- Faisant allusion à la discussion qui a actuellement lieu dans le cadre de l'OCDE au sujet de la révision de la liste des pays bénéficiaires d'aide du CAD, MM. Spranger et Roussin ont préconisé que la lutte contre la pauvreté continue d'occuper le premier rang des objectifs assignés à l'aide internationale. Dans ces conditions, les deux ministres ont réaffirmé leur commune priorité pour l'aide à l'Afrique, mais ils ont précisé que toute révision de la liste devrait prendre en compte la situation de nouveaux pays déshérités.