Texte intégral
Je vous remercie de vous être associé à l'hommage de la nation tout entière, du gouvernement en particulier, à la mémoire des soldats français morts assassinés à Bangui, il y a quelques jours.
Disons tout de suite que l'armée française à Bangui est une force d'interposition pour que le dialogue s'engage et reprenne, actuellement sous l'autorité du général malien Tore, suite à la décision prise à Ouagadougou par les pays africains et le président de la République française de convier quatre présidents africains du Mali, du Tchad, du Burkina Faso et du Gabon pour faire une mission de paix et de conciliation entre les parties prenantes de la République centrafricaine.
A ce propos, au nom du mandat de l'amitié traditionnelle entre la France, au nom du mandat de l'amitié traditionnelle entre la France et l'Afrique et de la volonté de paix de la France et des pays africains, je voudrais, à ce point de votre question, très rapidement, vous rappeler qu'en 1996, la France a obtenu plusieurs grands succès pour l'aide publique au développement, en particulier en Afrique. Le président de la République, en particulier pour le VIIIème FED (Fonds européen développement), a convaincu nos partenaires européens de maintenir l'aide pour le développement. Cela a été repris lors du G7 de Lyon où le président français, à nouveau, a convaincu les partenaires des grands pays industriels de se saisir du dossier du développement. Et, lors du Sommet de Ouagadougou, c'est à la demande du président français que la notion de bonne gouvernance, c'est-à-dire de démocratisation de l'Afrique, a été mise à l'ordre du jour et on voit aujourd'hui les premiers résultats de ces mesures.
Je voudrais terminer sur un point important : la France sait adapter son outil de coordination, et selon les instructions de M. le Premier ministre, la trilogie qu'il a donnée dans la lettre de mission au ministre de la Coopération : l'efficacité, la simplicité et la transparence est plus que jamais à l'ordre du jour et le sera plus que jamais dans l'année à venir
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 29 octobre 2001)
Disons tout de suite que l'armée française à Bangui est une force d'interposition pour que le dialogue s'engage et reprenne, actuellement sous l'autorité du général malien Tore, suite à la décision prise à Ouagadougou par les pays africains et le président de la République française de convier quatre présidents africains du Mali, du Tchad, du Burkina Faso et du Gabon pour faire une mission de paix et de conciliation entre les parties prenantes de la République centrafricaine.
A ce propos, au nom du mandat de l'amitié traditionnelle entre la France, au nom du mandat de l'amitié traditionnelle entre la France et l'Afrique et de la volonté de paix de la France et des pays africains, je voudrais, à ce point de votre question, très rapidement, vous rappeler qu'en 1996, la France a obtenu plusieurs grands succès pour l'aide publique au développement, en particulier en Afrique. Le président de la République, en particulier pour le VIIIème FED (Fonds européen développement), a convaincu nos partenaires européens de maintenir l'aide pour le développement. Cela a été repris lors du G7 de Lyon où le président français, à nouveau, a convaincu les partenaires des grands pays industriels de se saisir du dossier du développement. Et, lors du Sommet de Ouagadougou, c'est à la demande du président français que la notion de bonne gouvernance, c'est-à-dire de démocratisation de l'Afrique, a été mise à l'ordre du jour et on voit aujourd'hui les premiers résultats de ces mesures.
Je voudrais terminer sur un point important : la France sait adapter son outil de coordination, et selon les instructions de M. le Premier ministre, la trilogie qu'il a donnée dans la lettre de mission au ministre de la Coopération : l'efficacité, la simplicité et la transparence est plus que jamais à l'ordre du jour et le sera plus que jamais dans l'année à venir
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 29 octobre 2001)