Texte intégral
Q - Pourquoi cette réunion ?
R - Il est absolument normal que les trois ministres qui sont à l'avant-garde de cette négociation se retrouvent avec Javier Solana. Et nous travaillons avec la communauté internationale.
Avec le docteur Rohani, nous ne nous étions pas rencontrés depuis la réunion de Bruxelles. Il n'y a pas de dramatisation. Il y a un point normal, que nous devons faire de temps en temps, ce qui explique cette réunion.
Q - Que vous êtes-vous dit ?
R - Ce que nous avons dit aujourd'hui est dans l'esprit de l'Accord de Paris du 15 novembre. Vous pouvez vous reporter à cet accord dans tous ses éléments, dans sa lettre et dans son esprit.
Nous continuons à travailler et nous allons faire, dans quelques semaines, avant la fin juillet, des propositions concrètes - notamment sur une question importante qui est la mise en place en Iran d'un programme nucléaire civil, à des fins exclusivement civiles de production d'électricité nucléaire - mais pas seulement sur ce sujet. Nous avons besoin d'un peu plus de temps et, pendant ce temps là, nous continuerons à travailler en respectant l'Accord de Paris.
Q - Avez-vous abordé le problème de la conversion ?
R - Nous travaillons en respectant la lettre et l'esprit de l'Accord de Paris qui ne prévoit pas la reprise d'une quelconque activité de conversion.
Depuis un an, nous travaillons sur le sujet extrêmement sensible de la non-prolifération. Nous voulons être sûrs qu'il n'y aura pas d'autres activités nucléaires que civiles. Dans cette certitude, et nous ne l'avons pas encore, nous voulons, avec ce grand pays qui a une place et un rôle importants dans cette région - et qui doit tenir cette place -, nous voulons avoir une discussion plus large qui, vous le savez, portera ces prochains jours sur l'OMC, sur la coopération technologique et industrielle, et qui portera sur le dialogue politique.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 27 mai 2005)
R - Il est absolument normal que les trois ministres qui sont à l'avant-garde de cette négociation se retrouvent avec Javier Solana. Et nous travaillons avec la communauté internationale.
Avec le docteur Rohani, nous ne nous étions pas rencontrés depuis la réunion de Bruxelles. Il n'y a pas de dramatisation. Il y a un point normal, que nous devons faire de temps en temps, ce qui explique cette réunion.
Q - Que vous êtes-vous dit ?
R - Ce que nous avons dit aujourd'hui est dans l'esprit de l'Accord de Paris du 15 novembre. Vous pouvez vous reporter à cet accord dans tous ses éléments, dans sa lettre et dans son esprit.
Nous continuons à travailler et nous allons faire, dans quelques semaines, avant la fin juillet, des propositions concrètes - notamment sur une question importante qui est la mise en place en Iran d'un programme nucléaire civil, à des fins exclusivement civiles de production d'électricité nucléaire - mais pas seulement sur ce sujet. Nous avons besoin d'un peu plus de temps et, pendant ce temps là, nous continuerons à travailler en respectant l'Accord de Paris.
Q - Avez-vous abordé le problème de la conversion ?
R - Nous travaillons en respectant la lettre et l'esprit de l'Accord de Paris qui ne prévoit pas la reprise d'une quelconque activité de conversion.
Depuis un an, nous travaillons sur le sujet extrêmement sensible de la non-prolifération. Nous voulons être sûrs qu'il n'y aura pas d'autres activités nucléaires que civiles. Dans cette certitude, et nous ne l'avons pas encore, nous voulons, avec ce grand pays qui a une place et un rôle importants dans cette région - et qui doit tenir cette place -, nous voulons avoir une discussion plus large qui, vous le savez, portera ces prochains jours sur l'OMC, sur la coopération technologique et industrielle, et qui portera sur le dialogue politique.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 27 mai 2005)