Texte intégral
Le ministre de l'intérieur et le secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé de l'action humanitaire ont rendu compte au Conseil des ministres de l'aide apportée par le gouvernement français à la suite du tremblement de terre survenu le mercredi 7 décembre 1988 en Arménie Soviétique.
- Dès l'annonce de cette catastrophe, le Président de la République a proposé l'aide de la France et demandé que des moyens de secours soient mis en alerte afin de répondre dans les plus brefs délais à l'attente des autorités soviétiques.
- Aussi, vendredi 9 décembre à l'aube, un premier détachement de 169 hommes des unités de la sécurité civile et 16 tonnes de matériels étaient acheminés par des avions militaires à Erevan. Des renforts complémentaires ont été mis en route les 10, 11 et 12 décembre représentant 328 hommes de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris, du bataillon des marins-pompiers de Marseille, des sapeurs-pompiers de la région Ile-de-France et de la région Sud-Est ainsi que plus de 61 tonnes de matériels.
- Au total, le détachement français comprend 497 hommes, dont 57 médecins, 3 vétérinaires, 54 équipes cynophiles et 77 tonnes de matériels. De leur côté, les organisations non gouvernementales ont assuré, avec l'aide de la cellule d'urgence, l'envoi de matériel et de nombreuses équipes médicales spécialisées.
- Par un effort d'importance sans précédent associant l'aide de l'Etat, des collectivités territoriales, des grandes associations caritatives et des particuliers, notamment au sein de la communauté arménienne, la France a tenu à manifester sa solidarité à l'égard des populations soviétiques cruellement éprouvées par cette catastrophe.
- Huit vols ont pu être affrétés en direction de l'Arménie, transportant des équipes médicales et du matériel. La coordination des secours humanitaires est confiée à la cellule d'urgence et de veille, dont l'animation est assurée par le secrétariat d'Etat à l'action humanitaire.
- Dès l'annonce de cette catastrophe, le Président de la République a proposé l'aide de la France et demandé que des moyens de secours soient mis en alerte afin de répondre dans les plus brefs délais à l'attente des autorités soviétiques.
- Aussi, vendredi 9 décembre à l'aube, un premier détachement de 169 hommes des unités de la sécurité civile et 16 tonnes de matériels étaient acheminés par des avions militaires à Erevan. Des renforts complémentaires ont été mis en route les 10, 11 et 12 décembre représentant 328 hommes de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris, du bataillon des marins-pompiers de Marseille, des sapeurs-pompiers de la région Ile-de-France et de la région Sud-Est ainsi que plus de 61 tonnes de matériels.
- Au total, le détachement français comprend 497 hommes, dont 57 médecins, 3 vétérinaires, 54 équipes cynophiles et 77 tonnes de matériels. De leur côté, les organisations non gouvernementales ont assuré, avec l'aide de la cellule d'urgence, l'envoi de matériel et de nombreuses équipes médicales spécialisées.
- Par un effort d'importance sans précédent associant l'aide de l'Etat, des collectivités territoriales, des grandes associations caritatives et des particuliers, notamment au sein de la communauté arménienne, la France a tenu à manifester sa solidarité à l'égard des populations soviétiques cruellement éprouvées par cette catastrophe.
- Huit vols ont pu être affrétés en direction de l'Arménie, transportant des équipes médicales et du matériel. La coordination des secours humanitaires est confiée à la cellule d'urgence et de veille, dont l'animation est assurée par le secrétariat d'Etat à l'action humanitaire.