Texte intégral
Renforcer la position de pointe qu'occupe la France dans ce secteur de forte compétition.
- Le ministre de la recherche et de la technologie a présenté au Conseil des ministres une communication, préparée en liaison avec le secrétaire d'Etat chargé de la mer, sur la recherche dans le domaine des océans.
- 1 - La France dispose désormais dans ce domaine de structures opérationnelles après la création récente de l'institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (IFREMER) et de l'institut national des sciences de l'univers (INSU) et la mise en place d'un comité de coordination des programmes de recherche et de technologie marines.
- 2 - Des moyens de recherche puissants, sont mis en place :
- sous-marins scientifiques pour l'étude des fonds océaniques (le NAUTILE vient de s'illustrer lors de l'expérience KAIKO dans la fosse du Japon) ;
- mise en oeuvre d'un plan de renouvellement de la flotte océanologique ;
- ouverture prochaine de trois nouveaux centres d'essais : le centre d'essais hyperbare de Marseille, le bassin de houle et de génie océanique de Toulon, le bassin d'essais de chaluts de Boulogne-sur-Mer.
- 3 - Les perspectives d'avenir sont prometteuses :
- un effort particulier sera fait dans les domaines touchant les ressources vivantes de la mer, en liaison avec les milieux professionnels concernés ;
- le programme SPOT et le développement de satellites océaniques permettront de moderniser les méthodes et connaissances en matière d'océanographie ;
- de grands projets scientifiques et technologiques seront développés en coopération avec d'autres pays : forages océaniques profonds, sous-marin porte-plongeur SAGA, robotique sous-marine et définition d'un navire informatisé dans le cadre du programme EUREKA.
- Le ministre de la recherche et de la technologie a présenté au Conseil des ministres une communication, préparée en liaison avec le secrétaire d'Etat chargé de la mer, sur la recherche dans le domaine des océans.
- 1 - La France dispose désormais dans ce domaine de structures opérationnelles après la création récente de l'institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (IFREMER) et de l'institut national des sciences de l'univers (INSU) et la mise en place d'un comité de coordination des programmes de recherche et de technologie marines.
- 2 - Des moyens de recherche puissants, sont mis en place :
- sous-marins scientifiques pour l'étude des fonds océaniques (le NAUTILE vient de s'illustrer lors de l'expérience KAIKO dans la fosse du Japon) ;
- mise en oeuvre d'un plan de renouvellement de la flotte océanologique ;
- ouverture prochaine de trois nouveaux centres d'essais : le centre d'essais hyperbare de Marseille, le bassin de houle et de génie océanique de Toulon, le bassin d'essais de chaluts de Boulogne-sur-Mer.
- 3 - Les perspectives d'avenir sont prometteuses :
- un effort particulier sera fait dans les domaines touchant les ressources vivantes de la mer, en liaison avec les milieux professionnels concernés ;
- le programme SPOT et le développement de satellites océaniques permettront de moderniser les méthodes et connaissances en matière d'océanographie ;
- de grands projets scientifiques et technologiques seront développés en coopération avec d'autres pays : forages océaniques profonds, sous-marin porte-plongeur SAGA, robotique sous-marine et définition d'un navire informatisé dans le cadre du programme EUREKA.