Texte intégral
Le ministre de la coopération a présenté au Conseil des ministres une communication sur les travaux de la session spéciale de l'Assemblée générale des Nations unies sur l'Afrique, qui s'est tenue à New York du 27 au 31 mai.
- Le ministre, qui conduisait la délégation française, a souligné le rôle joué par la France au cours de cette Assemblée générale, en raison des liens qui unissent notre pays à l'Afrique. Ainsi, la déclaration finale adoptée par la conférence se rapproche sensiblement des thèses françaises :
- reconnaissance par les pays africains de leur responsabilité première dans la situation actuelle de leur continent, ainsi que de la nécessité de mieux gérer leurs économies ;
- engagement des pays développés d'accroître l'aide publique à l'Afrique en vue d'appuyer et de compléter les efforts des pays africains ;
- reconnaissance de la nécessité de traiter au cas par cas les problèmes d'endettement dans le cadre des procédures actuelles et d'examiner les améliorations qu'il est possible d'apporter à celles-ci ;
- reconnaissance du rôle du prix des matières premières dans l'économie des pays africains.
- La tenue de la conférence a été l'occasion pour le ministre de la coopération d'avoir de nombreux entretiens avec des chefs de délégation des pays africains et de rencontrer des responsables d'institutions multilatérales. Ces entretiens ont permis de constater combien l'action continue de la France en faveur de l'Afrique dans son ensemble représente un gage de paix et de stabilité pour ce continent.
- Le ministre, qui conduisait la délégation française, a souligné le rôle joué par la France au cours de cette Assemblée générale, en raison des liens qui unissent notre pays à l'Afrique. Ainsi, la déclaration finale adoptée par la conférence se rapproche sensiblement des thèses françaises :
- reconnaissance par les pays africains de leur responsabilité première dans la situation actuelle de leur continent, ainsi que de la nécessité de mieux gérer leurs économies ;
- engagement des pays développés d'accroître l'aide publique à l'Afrique en vue d'appuyer et de compléter les efforts des pays africains ;
- reconnaissance de la nécessité de traiter au cas par cas les problèmes d'endettement dans le cadre des procédures actuelles et d'examiner les améliorations qu'il est possible d'apporter à celles-ci ;
- reconnaissance du rôle du prix des matières premières dans l'économie des pays africains.
- La tenue de la conférence a été l'occasion pour le ministre de la coopération d'avoir de nombreux entretiens avec des chefs de délégation des pays africains et de rencontrer des responsables d'institutions multilatérales. Ces entretiens ont permis de constater combien l'action continue de la France en faveur de l'Afrique dans son ensemble représente un gage de paix et de stabilité pour ce continent.