Texte intégral
Q - Téhéran avait annoncé le mois dernier la reprise des recherches sur l'enrichissement à son centre pilote de Natanz, et cela malgré les injonctions de l'AIEA et de la communauté internationale. Ce midi le ministre français des Affaires étrangères a condamné la position iranienne, Philippe Douste-Blazy ?
R - Je regrette l'attitude de l'Iran qui persiste dans son intention de reprendre ses activités d'enrichissement, en particulier à l'usine de Natanz. Je pense que c'était exactement le contraire qu'il fallait faire. Il fallait que l'Iran saisisse cette occasion de suspendre ses activités nucléaires dangereuses, comme le lui demande l'Agence internationale de l'Energie atomique, et cette suspension est totalement nécessaire pour permettre la reprise des négociations.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 14 février 2006
R - Je regrette l'attitude de l'Iran qui persiste dans son intention de reprendre ses activités d'enrichissement, en particulier à l'usine de Natanz. Je pense que c'était exactement le contraire qu'il fallait faire. Il fallait que l'Iran saisisse cette occasion de suspendre ses activités nucléaires dangereuses, comme le lui demande l'Agence internationale de l'Energie atomique, et cette suspension est totalement nécessaire pour permettre la reprise des négociations.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 14 février 2006