Texte intégral
Monsieur le Président fondateur de « Notre Europe »,
Messieurs les Présidents,
Messieurs les Premiers ministres,
Monsieur le Directeur Général de l'Organisation Mondiale du Commerce,
Messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs les Parlementaires,
Mesdames et Messieurs,
Le Sénat est très heureux d'accueillir aujourd'hui ce colloque consacré à l'Europe, qui va célébrer prochainement le 50ème anniversaire du Traité de Rome.
Je tiens, pour commencer, à saluer l'initiative prise par « Notre Europe ».
Elle rappelle en effet, opportunément, combien l'aventure européenne a été mobilisatrice et doit continuer à l'être.
L'Europe s'est construite sur les décombres laissés par la seconde guerre mondiale. Cette épreuve, qui semble loin pour la jeunesse d'aujourd'hui, avait créé un sursaut et une volonté et avait enfanté une construction européenne inédite dans l'histoire. Ce désir d'Europe, thème de vos débats cet après-midi, il nous appartient de le retrouver, de l'éprouver à nouveau pour surmonter la crise constitutionnelle et les difficultés d'aujourd'hui.
La renaissance de ce désir d'Europe, si présent au commencement de l'aventure, il y a 50 ans, à six, est en effet indispensable.
Elle seule permettra de répondre au besoin d'Europe que nous connaissons et qu'alimente quotidiennement le monde instable et en rapide évolution d'aujourd'hui.
Ces enjeux sont cruciaux et vos débats seront certainement très riches et, je l'espère, fructueux.
Il ne m'est malheureusement pas possible, comme je l'avais souhaité, d'être présent parmi vous aujourd'hui et je remercie le Président fondateur de « Notre Europe », mon ami Jacques DELORS, d'avoir accepté de lire ce message en mon nom.
En vous renouvelant mes voeux de cordiale bienvenue, je souhaite à toutes et à tous d'excellents travaux en espérant que vous garderez de votre passage au Sénat un très bon souvenir.Source http://www.senat.fr, le 20 novembre 2006
Messieurs les Présidents,
Messieurs les Premiers ministres,
Monsieur le Directeur Général de l'Organisation Mondiale du Commerce,
Messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs les Parlementaires,
Mesdames et Messieurs,
Le Sénat est très heureux d'accueillir aujourd'hui ce colloque consacré à l'Europe, qui va célébrer prochainement le 50ème anniversaire du Traité de Rome.
Je tiens, pour commencer, à saluer l'initiative prise par « Notre Europe ».
Elle rappelle en effet, opportunément, combien l'aventure européenne a été mobilisatrice et doit continuer à l'être.
L'Europe s'est construite sur les décombres laissés par la seconde guerre mondiale. Cette épreuve, qui semble loin pour la jeunesse d'aujourd'hui, avait créé un sursaut et une volonté et avait enfanté une construction européenne inédite dans l'histoire. Ce désir d'Europe, thème de vos débats cet après-midi, il nous appartient de le retrouver, de l'éprouver à nouveau pour surmonter la crise constitutionnelle et les difficultés d'aujourd'hui.
La renaissance de ce désir d'Europe, si présent au commencement de l'aventure, il y a 50 ans, à six, est en effet indispensable.
Elle seule permettra de répondre au besoin d'Europe que nous connaissons et qu'alimente quotidiennement le monde instable et en rapide évolution d'aujourd'hui.
Ces enjeux sont cruciaux et vos débats seront certainement très riches et, je l'espère, fructueux.
Il ne m'est malheureusement pas possible, comme je l'avais souhaité, d'être présent parmi vous aujourd'hui et je remercie le Président fondateur de « Notre Europe », mon ami Jacques DELORS, d'avoir accepté de lire ce message en mon nom.
En vous renouvelant mes voeux de cordiale bienvenue, je souhaite à toutes et à tous d'excellents travaux en espérant que vous garderez de votre passage au Sénat un très bon souvenir.Source http://www.senat.fr, le 20 novembre 2006