Texte intégral
A l'occasion de l'installation du Comité scientifique de l'Université franco-italienne, Roger-Gérard SCHWARTZENBERG, Ministre de la Recherche annonce la tenue du Forum méditerranéen de la Recherche à Aix-en-Provence, au cours du premier trimestre 2002.
La première Université franco-italienne, dont la création avait été décidée au précédent Sommet franco-italien de Florence en 1998, a été installée ce lundi 29 janvier 2001 par le Ministre français de la Recherche et son homologue italien.
Cette université "sans murs", issue d'une longue coopération entre celles de Grenoble et de Turin, est pilotée par un Comité scientifique d'universitaires des deux pays. Ses deux Secrétaires généraux, Messieurs Alfio Mastropaolo et Michel Duclot ont pour mission :
de favoriser, dans le cadre du "processus de Bologne", l'harmonisation des diplômes universitaires en Europe et de mettre en uvre le "Plan d'action pour la mobilité (PAM)" des étudiants, des enseignants et des chercheurs adopté par le Conseil des ministres de l'Union européenne le 9 novembre 2000
d'initier des projets novateurs pour le développement de la recherche et la création d'un "espace européen de l'innovation".
Comme l'a rappelé le Ministre dans son discours inaugural, "cette Université franco-italienne constituera un observatoire de la mobilité et des coopérations interuniversitaires ; un laboratoire d'expérimentation de programmes innovants ; une instance de labellisation de projets de recherche ouvrant la voie à des cofinancements ; un portail d'informations pour les universités des pays européens ; une tête de réseau pour les pays partenaires tiers, notamment du pourtour méditerranéen."
Roger-Gérard SCHWARTZENBERG, a conclu en insistant sur le rôle de pilote que devra avoir cette université tant, "dans le cadre de la multiplication des rencontres d'étudiants européens, souhaitée conjointement par mon collègue ministre de l'Education nationale et moi-même, elle organisera une Université d'été à Grenoble en 2001 - sur financement du ministère de la Recherche," et "en tant que fer de lance du dialogue euro-méditerranéen sur les questions d'enseignement supérieur et de recherche, elle réalisera le projet que j'avais lancé lors de la réunion informelle des ministres de la Recherche à Capri, celui d'un Forum méditerranéen de la recherche qui se tiendra à Aix-en-Provence au cours du premier trimestre 2002."
(Source http://www.recherche.gouv.fr, le 6 février 2001)
La première Université franco-italienne, dont la création avait été décidée au précédent Sommet franco-italien de Florence en 1998, a été installée ce lundi 29 janvier 2001 par le Ministre français de la Recherche et son homologue italien.
Cette université "sans murs", issue d'une longue coopération entre celles de Grenoble et de Turin, est pilotée par un Comité scientifique d'universitaires des deux pays. Ses deux Secrétaires généraux, Messieurs Alfio Mastropaolo et Michel Duclot ont pour mission :
de favoriser, dans le cadre du "processus de Bologne", l'harmonisation des diplômes universitaires en Europe et de mettre en uvre le "Plan d'action pour la mobilité (PAM)" des étudiants, des enseignants et des chercheurs adopté par le Conseil des ministres de l'Union européenne le 9 novembre 2000
d'initier des projets novateurs pour le développement de la recherche et la création d'un "espace européen de l'innovation".
Comme l'a rappelé le Ministre dans son discours inaugural, "cette Université franco-italienne constituera un observatoire de la mobilité et des coopérations interuniversitaires ; un laboratoire d'expérimentation de programmes innovants ; une instance de labellisation de projets de recherche ouvrant la voie à des cofinancements ; un portail d'informations pour les universités des pays européens ; une tête de réseau pour les pays partenaires tiers, notamment du pourtour méditerranéen."
Roger-Gérard SCHWARTZENBERG, a conclu en insistant sur le rôle de pilote que devra avoir cette université tant, "dans le cadre de la multiplication des rencontres d'étudiants européens, souhaitée conjointement par mon collègue ministre de l'Education nationale et moi-même, elle organisera une Université d'été à Grenoble en 2001 - sur financement du ministère de la Recherche," et "en tant que fer de lance du dialogue euro-méditerranéen sur les questions d'enseignement supérieur et de recherche, elle réalisera le projet que j'avais lancé lors de la réunion informelle des ministres de la Recherche à Capri, celui d'un Forum méditerranéen de la recherche qui se tiendra à Aix-en-Provence au cours du premier trimestre 2002."
(Source http://www.recherche.gouv.fr, le 6 février 2001)