Texte intégral
Monsieur le Premier ministre, mon cher François,
Mes chers amis,
Je voudrais commencer par dire ma fierté, vraiment, de ce nous avons vu tout à l'heure dans ce débat formidable où étaient réunis le président du Parlement européen, Hans-Gert Pöttering, le président de la Commission européenne, notre ami José Manuel Barroso et le président de l'Union européenne, président de la République française, Nicolas Sarkozy.
Ce fut un débat exceptionnel, aucun parti politique en France n'a jamais fait ça.
Je le dis encore avec toujours un peu de fierté, ceci vient après que nous ayons reçu, dans les mêmes conditions, Tony Blair, dans un débat qui a marqué l'opinion et Angela Merkel, où le dialogue entre Nicolas Sarkozy et la Chancelière allemande a été exceptionnel.
Dans la vie politique française, jamais aucun parti ne l'avait fait, encore moins dans un délai de six mois. On nous dira que notre chance réside dans le fait que le président de la République s'est impliqué et que c'est lui qui l'a permis. Mais c'est bien vrai, bien sûr que c'est grâce à lui et c'est pour cette raison que, contrairement aux jeteurs de sorts, nous sommes très heureux que le président de la République soit impliqué dans la vie du mouvement, qu'il le fasse vivre, l'anime et lui donne son rayonnement.
Notre parti politique doit être le parti du débat. L'exemple nous vient de haut et il est suivi. Trois débats à caractère européen et internationaux dans ce court délai est tout à fait exceptionnel.
C'est maintenant bien ancré, c'est une tradition forte : c'est à l'UMP, et à l'UMP seule, qu'a lieu le débat politique, la créativité et le mouvement des idées. Comme nous l'avons encore d'ailleurs démontré, il y a quelques semaines, avec notre convention sur la justice sociale très bien animée par Marc-Philippe Daubresse. Comme nous le ferons également d'ailleurs sur proposition de Pierre Méhaignerie prochainement avec une convention sur la fiscalité locale et la justice fiscale, en particulier au niveau des collectivités territoriales.
Notre débat sur la justice sociale nous a permis d'ouvrir la question des niches fiscales et c'est maintenant une chose qui se discute.
Pendant longtemps, je vous le rappelle, la gauche avait le monopole du débat politique, c'était elle qui le créait et la droite ne savait que se situer par rapport à elle. Désormais, c'est l'inverse. Nous sommes en train de reconquérir l'avantage culturel face à une gauche de plus en plus stérile.
Il est fini le temps où ils avaient le culot d'affirmer qu'il valait mieux avoir tort avec Jean-Paul Sartre que raison avec Raymond Aron. Ce temps-là est achevé, nous avons renversé le sablier. Les idées dont on discute sont les nôtres.
Aujourd'hui, le PS est le cimetière des idées mortes. Et ce ne sont pas les petites mesquineries de Ségolène Royal qui vont ressusciter les grands ancêtres du socialisme. Nous sommes loin, très loin de Léon Blum.
Ce changement du rapport de force, nous le devons d'abord à la fusion réalisée en 2002 entre les Libéraux, les Centristes et les Gaullistes. C'est elle qui nous a permis ce changement.
C'est pourquoi nous avons le devoir de veiller scrupuleusement à ce l'équilibre trouvé dans cette fusion soit conservé tout comme cette entente entre trois familles de sensibilité différente unies pour être plus fortes.
D'ailleurs, j'observe que nos adhérents ne se posent pas la question des origines, ce n'est plus que celle de quelques cadres et c'est bien ainsi.
Non seulement cette fusion nous a donné l'avantage numérique sur le Parti socialiste, mais elle a été féconde dans la mesure où elle nous a conduit, les uns et les autres, à un enrichissement de nos différences et nous a permis de cultiver cette diversité qui est créatrice.
Alors, en 2004, est venu Nicolas Sarkozy qui a fait de l'UMP un laboratoire d'idées sans cesse en ébullition et c'est ainsi que nous avons gagné. Avec ce laboratoire, cette diversité et cette coexistence des différences.
Aujourd'hui, notre formation politique est en train de changer la France. Nos idées et nos principes sont acceptés par les Français parce qu'ils comprennent que la France a accumulé trop de retard sur les changements du monde.
Mais aussi, parce que ces idées sont portées par un homme qui a une grande force de conviction. Et nous en avons eu un exemple tout à l'heure où il rendait l'Europe sympathique à tout le monde, tout en faisant avancer les questions que tout le monde se pose, comme avec la TVA sur la restauration.
Le secret de l'élection de Nicolas Sarkozy, c'est son énergie. Instinctivement, les Français ont senti que la première qualité dont le pays avait besoin aujourd'hui pour le relever, c'était cette exceptionnelle énergie.
Mais le risque pour nous, pour l'UMP, est de devenir maintenant prisonnier de notre victoire. Nous ne changerons la France qu'en continuant à nous changer nous-mêmes. Cette mutation que nous avons entreprise et qui nous a réussi nous devons la poursuivre. Ce qui a caractérisé notre démarche politique, c'est que nous avons incarné le mouvement face à l'immobilisme de la gauche.
En même temps, nous sommes devenus un grand parti populaire, portant les aspirations des catégories populaires, modernisant la pratique de la politique, reflétant la diversité de la société, renouvelant nos responsables politiques, cherchant des solutions nouvelles à des problèmes anciens et refusant les tabous et les préjugés
Nous avons également assumé nos valeurs qui se sont alors imposées : le travail, le courage, l'effort, la responsabilité, le mérite, l'équité, le respect, l'autorité légitime.
Nous avons revendiqué notre identité, nous avons osé dire que nous aimions notre pays. Rien de plus mais aussi tout cela. Et tout cela a fait notre succès et d'une certaine manière continu de le faire.
Mais en arrivant au pouvoir notre UMP court aussi des risques. Nous devons soutenir le gouvernement, expliquer son action, promouvoir sa politique, mais si nous nous contentons de cela nous pouvons devenir des godillots. La brigade des applaudissements ne mobilisera pas le pays pendant très longtemps.
Nous ne devons pas laisser au gouvernement le monopole de l'innovation et de l'audace. Il l'a, mais nous ne devons pas lui en laisser le monopole. Notre vocation est d'être en avant du gouvernement, assez loin devant, pour engager la réflexion et servir de test au gouvernement.
Nous l'avons fait pour les 35 heures. Nous le faisons avec Nathalie Kosciusko-Morizet quand nous organisons des débats contradictoires sur les questions de société avec controverse. C'est un vrai succès et je l'en félicite.
Nous le ferons à la rentrée avec « Agit Pop » et nous développerons, peut-être à la limite parfois de la provocation intellectuelle, des idées nouvelles. Nous le faisons également avec nos jeunes.
Les élections municipales ont montré la nécessité de développer notre implantation dans les villes et les quartiers populaires. Nos adhérents, nombreux, doivent être beaucoup plus associés à la vie du Mouvement, en choisissant leurs élus comme ils pourront le faire lors des prochaines élections régionales en mars 2009, en choisissant leur tête de liste. Comme ils vont le faire pour les responsables locaux en novembre prochain de cette année. Ils doivent être mobilisés sur des enjeux, impliqués dans la recherche d'idées nouvelles, dans la définition des réformes utiles.
Je pense aux fédérations professionnelles dont nous ne tirons pas assez profit, malgré le travail de Philippe Juvin. Parce qu'elles ont une connaissance fine de nombreux aspects de la vie quotidienne. Nadine Morano avait fait, avant de devenir ministre, un excellent travail dont nous devons continuer à tirer davantage profit et je la remercie.
Je veux que l'UMP s'organise sur trois pôles :
- Un pôle de soutien au gouvernement dont nos portes paroles sont les fers de lance, mais qui doivent être relayés dans les fédérations et auprès de la presse régionale où nous ne sommes pas encore assez présents.
- Un pôle de débat permanent dont Internet doit être le véhicule renforcé et modernisé. Il faut être plus communautaire et plus participatif que nous le sommes. Il s'agit de valoriser le travail qui a déjà été engagé par Thierry Solère. Je pense aussi à Réforme Hebdo et au Tableau de bord. Il faut renforcer leurs moyens financiers quitte à abandonner des moyens traditionnels de propagande devenus obsolètes.
- Le troisième pôle, vous en avez tous parlé, et à cet égard, les propositions de Jean-François Copé doivent être regardées de près parce qu'elles sont utiles. Il s'agit d'un pôle producteur d'idées, offrant à nos adhérents, sur tout le territoire, des « ateliers du changement » associant davantage le Mouvement et les groupes parlementaires. Nous avons tous été élus, que ce soit élus locaux, nationaux ou dirigeants de la majorité sur le projet et la personne de Nicolas Sarkozy. Tout est là pour que nous collaborions et convergions vers le même effort d'explication et de production de l'innovation.
Nos secrétaires nationaux thématiques doivent être l'interface entre les structures de débats et la vie parlementaire. La renaissance du Parlement, grâce à la réforme en cours et qui va aboutir, va fournir de nombreuses occasions. Je voudrais que chaque semaine soit celle d'un secrétaire national, de son thème et que cela se fasse en coopération avec l'Assemblée nationale ou le Sénat.
Nous aurons bientôt réalisé toutes nos promesses de campagne. Nous allons avoir un problème le jour où nous aurons réalisé ce que nous avions promis parce que le président va très vite. Il y a urgence à nourrir la suite et la continuité des changements impulsés. Chaque changement en impose un autre qui est à inventer, à expliquer, à faire partager.
C'est sur le thème du changement, en France et en Europe, qu'auront lieu nos Universités d'été à Royan. Je vous y invite : ça va décoiffer, parce que sachez le bien, l'UMP est le parti du changement !
Source http://www.u-m-p.org, le 7 juillet 2008
Mes chers amis,
Je voudrais commencer par dire ma fierté, vraiment, de ce nous avons vu tout à l'heure dans ce débat formidable où étaient réunis le président du Parlement européen, Hans-Gert Pöttering, le président de la Commission européenne, notre ami José Manuel Barroso et le président de l'Union européenne, président de la République française, Nicolas Sarkozy.
Ce fut un débat exceptionnel, aucun parti politique en France n'a jamais fait ça.
Je le dis encore avec toujours un peu de fierté, ceci vient après que nous ayons reçu, dans les mêmes conditions, Tony Blair, dans un débat qui a marqué l'opinion et Angela Merkel, où le dialogue entre Nicolas Sarkozy et la Chancelière allemande a été exceptionnel.
Dans la vie politique française, jamais aucun parti ne l'avait fait, encore moins dans un délai de six mois. On nous dira que notre chance réside dans le fait que le président de la République s'est impliqué et que c'est lui qui l'a permis. Mais c'est bien vrai, bien sûr que c'est grâce à lui et c'est pour cette raison que, contrairement aux jeteurs de sorts, nous sommes très heureux que le président de la République soit impliqué dans la vie du mouvement, qu'il le fasse vivre, l'anime et lui donne son rayonnement.
Notre parti politique doit être le parti du débat. L'exemple nous vient de haut et il est suivi. Trois débats à caractère européen et internationaux dans ce court délai est tout à fait exceptionnel.
C'est maintenant bien ancré, c'est une tradition forte : c'est à l'UMP, et à l'UMP seule, qu'a lieu le débat politique, la créativité et le mouvement des idées. Comme nous l'avons encore d'ailleurs démontré, il y a quelques semaines, avec notre convention sur la justice sociale très bien animée par Marc-Philippe Daubresse. Comme nous le ferons également d'ailleurs sur proposition de Pierre Méhaignerie prochainement avec une convention sur la fiscalité locale et la justice fiscale, en particulier au niveau des collectivités territoriales.
Notre débat sur la justice sociale nous a permis d'ouvrir la question des niches fiscales et c'est maintenant une chose qui se discute.
Pendant longtemps, je vous le rappelle, la gauche avait le monopole du débat politique, c'était elle qui le créait et la droite ne savait que se situer par rapport à elle. Désormais, c'est l'inverse. Nous sommes en train de reconquérir l'avantage culturel face à une gauche de plus en plus stérile.
Il est fini le temps où ils avaient le culot d'affirmer qu'il valait mieux avoir tort avec Jean-Paul Sartre que raison avec Raymond Aron. Ce temps-là est achevé, nous avons renversé le sablier. Les idées dont on discute sont les nôtres.
Aujourd'hui, le PS est le cimetière des idées mortes. Et ce ne sont pas les petites mesquineries de Ségolène Royal qui vont ressusciter les grands ancêtres du socialisme. Nous sommes loin, très loin de Léon Blum.
Ce changement du rapport de force, nous le devons d'abord à la fusion réalisée en 2002 entre les Libéraux, les Centristes et les Gaullistes. C'est elle qui nous a permis ce changement.
C'est pourquoi nous avons le devoir de veiller scrupuleusement à ce l'équilibre trouvé dans cette fusion soit conservé tout comme cette entente entre trois familles de sensibilité différente unies pour être plus fortes.
D'ailleurs, j'observe que nos adhérents ne se posent pas la question des origines, ce n'est plus que celle de quelques cadres et c'est bien ainsi.
Non seulement cette fusion nous a donné l'avantage numérique sur le Parti socialiste, mais elle a été féconde dans la mesure où elle nous a conduit, les uns et les autres, à un enrichissement de nos différences et nous a permis de cultiver cette diversité qui est créatrice.
Alors, en 2004, est venu Nicolas Sarkozy qui a fait de l'UMP un laboratoire d'idées sans cesse en ébullition et c'est ainsi que nous avons gagné. Avec ce laboratoire, cette diversité et cette coexistence des différences.
Aujourd'hui, notre formation politique est en train de changer la France. Nos idées et nos principes sont acceptés par les Français parce qu'ils comprennent que la France a accumulé trop de retard sur les changements du monde.
Mais aussi, parce que ces idées sont portées par un homme qui a une grande force de conviction. Et nous en avons eu un exemple tout à l'heure où il rendait l'Europe sympathique à tout le monde, tout en faisant avancer les questions que tout le monde se pose, comme avec la TVA sur la restauration.
Le secret de l'élection de Nicolas Sarkozy, c'est son énergie. Instinctivement, les Français ont senti que la première qualité dont le pays avait besoin aujourd'hui pour le relever, c'était cette exceptionnelle énergie.
Mais le risque pour nous, pour l'UMP, est de devenir maintenant prisonnier de notre victoire. Nous ne changerons la France qu'en continuant à nous changer nous-mêmes. Cette mutation que nous avons entreprise et qui nous a réussi nous devons la poursuivre. Ce qui a caractérisé notre démarche politique, c'est que nous avons incarné le mouvement face à l'immobilisme de la gauche.
En même temps, nous sommes devenus un grand parti populaire, portant les aspirations des catégories populaires, modernisant la pratique de la politique, reflétant la diversité de la société, renouvelant nos responsables politiques, cherchant des solutions nouvelles à des problèmes anciens et refusant les tabous et les préjugés
Nous avons également assumé nos valeurs qui se sont alors imposées : le travail, le courage, l'effort, la responsabilité, le mérite, l'équité, le respect, l'autorité légitime.
Nous avons revendiqué notre identité, nous avons osé dire que nous aimions notre pays. Rien de plus mais aussi tout cela. Et tout cela a fait notre succès et d'une certaine manière continu de le faire.
Mais en arrivant au pouvoir notre UMP court aussi des risques. Nous devons soutenir le gouvernement, expliquer son action, promouvoir sa politique, mais si nous nous contentons de cela nous pouvons devenir des godillots. La brigade des applaudissements ne mobilisera pas le pays pendant très longtemps.
Nous ne devons pas laisser au gouvernement le monopole de l'innovation et de l'audace. Il l'a, mais nous ne devons pas lui en laisser le monopole. Notre vocation est d'être en avant du gouvernement, assez loin devant, pour engager la réflexion et servir de test au gouvernement.
Nous l'avons fait pour les 35 heures. Nous le faisons avec Nathalie Kosciusko-Morizet quand nous organisons des débats contradictoires sur les questions de société avec controverse. C'est un vrai succès et je l'en félicite.
Nous le ferons à la rentrée avec « Agit Pop » et nous développerons, peut-être à la limite parfois de la provocation intellectuelle, des idées nouvelles. Nous le faisons également avec nos jeunes.
Les élections municipales ont montré la nécessité de développer notre implantation dans les villes et les quartiers populaires. Nos adhérents, nombreux, doivent être beaucoup plus associés à la vie du Mouvement, en choisissant leurs élus comme ils pourront le faire lors des prochaines élections régionales en mars 2009, en choisissant leur tête de liste. Comme ils vont le faire pour les responsables locaux en novembre prochain de cette année. Ils doivent être mobilisés sur des enjeux, impliqués dans la recherche d'idées nouvelles, dans la définition des réformes utiles.
Je pense aux fédérations professionnelles dont nous ne tirons pas assez profit, malgré le travail de Philippe Juvin. Parce qu'elles ont une connaissance fine de nombreux aspects de la vie quotidienne. Nadine Morano avait fait, avant de devenir ministre, un excellent travail dont nous devons continuer à tirer davantage profit et je la remercie.
Je veux que l'UMP s'organise sur trois pôles :
- Un pôle de soutien au gouvernement dont nos portes paroles sont les fers de lance, mais qui doivent être relayés dans les fédérations et auprès de la presse régionale où nous ne sommes pas encore assez présents.
- Un pôle de débat permanent dont Internet doit être le véhicule renforcé et modernisé. Il faut être plus communautaire et plus participatif que nous le sommes. Il s'agit de valoriser le travail qui a déjà été engagé par Thierry Solère. Je pense aussi à Réforme Hebdo et au Tableau de bord. Il faut renforcer leurs moyens financiers quitte à abandonner des moyens traditionnels de propagande devenus obsolètes.
- Le troisième pôle, vous en avez tous parlé, et à cet égard, les propositions de Jean-François Copé doivent être regardées de près parce qu'elles sont utiles. Il s'agit d'un pôle producteur d'idées, offrant à nos adhérents, sur tout le territoire, des « ateliers du changement » associant davantage le Mouvement et les groupes parlementaires. Nous avons tous été élus, que ce soit élus locaux, nationaux ou dirigeants de la majorité sur le projet et la personne de Nicolas Sarkozy. Tout est là pour que nous collaborions et convergions vers le même effort d'explication et de production de l'innovation.
Nos secrétaires nationaux thématiques doivent être l'interface entre les structures de débats et la vie parlementaire. La renaissance du Parlement, grâce à la réforme en cours et qui va aboutir, va fournir de nombreuses occasions. Je voudrais que chaque semaine soit celle d'un secrétaire national, de son thème et que cela se fasse en coopération avec l'Assemblée nationale ou le Sénat.
Nous aurons bientôt réalisé toutes nos promesses de campagne. Nous allons avoir un problème le jour où nous aurons réalisé ce que nous avions promis parce que le président va très vite. Il y a urgence à nourrir la suite et la continuité des changements impulsés. Chaque changement en impose un autre qui est à inventer, à expliquer, à faire partager.
C'est sur le thème du changement, en France et en Europe, qu'auront lieu nos Universités d'été à Royan. Je vous y invite : ça va décoiffer, parce que sachez le bien, l'UMP est le parti du changement !
Source http://www.u-m-p.org, le 7 juillet 2008