Texte intégral
N'ayant cessé tout au long de ces années d'appeler à la libération d'Aung San Suu Kyi, je me réjouis de la remise en liberté de cette personnalité politique, symbole de la lutte pour la démocratie en Birmanie, combat qui lui a valu l'attribution du Prix Nobel de la Paix en 1991.
Je tiens cependant à souligner qu'il ne s'agit en rien d'une mesure de clémence de la part de la junte birmane, sa peine devant arriver à son terme le 13 novembre. Nous n'avons cessé d'appeler, avec nos partenaires de l'Union européenne, à sa libération. Aung San Suu Kyi ne sera pleinement libre que si elle est libre de ses mouvements et de ses activités politiques.
Il reste également de nombreux prisonniers politiques en Birmanie, et nous continuons à demander leur libération immédiate et complète.
Seul le dialogue du gouvernement avec Aung San Suu Kyi et toutes les composantes de l'opposition, ainsi qu'avec les minorités ethniques, permettra à la Birmanie de prendre enfin le chemin d'une véritable réconciliation nationale.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 16 novembre 2010
Je tiens cependant à souligner qu'il ne s'agit en rien d'une mesure de clémence de la part de la junte birmane, sa peine devant arriver à son terme le 13 novembre. Nous n'avons cessé d'appeler, avec nos partenaires de l'Union européenne, à sa libération. Aung San Suu Kyi ne sera pleinement libre que si elle est libre de ses mouvements et de ses activités politiques.
Il reste également de nombreux prisonniers politiques en Birmanie, et nous continuons à demander leur libération immédiate et complète.
Seul le dialogue du gouvernement avec Aung San Suu Kyi et toutes les composantes de l'opposition, ainsi qu'avec les minorités ethniques, permettra à la Birmanie de prendre enfin le chemin d'une véritable réconciliation nationale.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 16 novembre 2010