Texte intégral
La France exprime sa très vive inquiétude devant les développements dangereux et inacceptables de la situation au Zaïre. Elle dénonce le refus de toute négociation véritable en vue d'aboutir à une transition ordonnée qui permettrait à ce pays, par un arrêt des hostilités, de se dégager de l'impasse actuelle et de construire son avenir, dans le respect des Droits de l'Homme, par la mise en place d'un processus démocratique associant tous les Zaïrois à la définition de leur propre destin.
- C'est pourquoi la France adhère pleinement aux déclarations de M. Kofi Annan, les 14 et 15 avril à Rome, et aux efforts que déploie M. Mohamed Sahnoun, représentant spécial de l'ONU et de l'OUA, pour rechercher une solution négociée, seule issue à la crise actuelle qui risque de compromettre durablement l'équilibre de toute l'Afrique centrale.
- Toute autre voie, et notamment la conquête du pouvoir par les armes, entraînerait le Zaïre dans un indéfinissable chaos, accroissant l'ampleur du désastre humanitaire et éloignant la perspective de l'indispensable réconciliation nationale.
- Ceux qui persisteraient dans cette voie, ou qui l'accepteraient, prendraient une très lourde responsabilité à l'égard du Zaïre et de l'ensemble de la région.
- C'est pourquoi la France adhère pleinement aux déclarations de M. Kofi Annan, les 14 et 15 avril à Rome, et aux efforts que déploie M. Mohamed Sahnoun, représentant spécial de l'ONU et de l'OUA, pour rechercher une solution négociée, seule issue à la crise actuelle qui risque de compromettre durablement l'équilibre de toute l'Afrique centrale.
- Toute autre voie, et notamment la conquête du pouvoir par les armes, entraînerait le Zaïre dans un indéfinissable chaos, accroissant l'ampleur du désastre humanitaire et éloignant la perspective de l'indispensable réconciliation nationale.
- Ceux qui persisteraient dans cette voie, ou qui l'accepteraient, prendraient une très lourde responsabilité à l'égard du Zaïre et de l'ensemble de la région.