Texte intégral
Le Premier ministre a présidé le 1er juin 1999 un second comité interministériel de la recherche scientifique et technique - CIRST - au cours duquel Claude Allègre a présenté une communication sur les priorités du Gouvernement en matière de Recherche. A l'issue de ce comité interministériel, un relevé de conclusions a été rendu publique.
Ces priorités relèvent de secteurs de la recherche où une action spécifique de l'Etat semble nécessaire pour amplifier et compléter des recherches conduites par les organismes de recherche et les établissements d'enseignement supérieur.
Les propositions ont fait l'objet de concertations et de débats préalables au sein du conseil national de la science, au cours d'un forum réunissant des représentants de la communauté scientifique et de l'industrie, et de consultations des organismes publics de recherche des ministères concernés.
Les priorités retenues porteront sur :
- les sciences du vivant (génomique, technologies appliquées à la médecine, sciences du cerveau...),
- les technologies de l'information et de la communication (micro et nanotechnologie, télécommunications, logiciels...),
- les sciences humaines et sociales (la ville, le travail, l'école...),
- l'énergie (énergies renouvelables, traitement des déchets nucléaires...),
- les transports et cadre de vie (transports terrestres, aéronautique...),
- le domaine spatial (observation de la Terre, développement de petits satellites...),
- les sciences de la Planète et de l'environnement (eau, prévention des catastrophes naturelles...).
Toutes ces priorités seront développées à travers des Actions Concertées Incitatives favorisant notamment l'émergence de disciplines nouvelles et la formation de spécialistes, des Actions Coordonnées concernant des recherches menées par divers organismes dans des domaines jugés particulièrement, et des Réseaux de Recherche Technologique associant des acteurs de la recherche publique et des industriels sur des projets, identifiés à partir des besoins, porteurs de création d'emploi.
Ces priorités relèvent de secteurs de la recherche où une action spécifique de l'Etat semble nécessaire pour amplifier et compléter des recherches conduites par les organismes de recherche et les établissements d'enseignement supérieur.
Les propositions ont fait l'objet de concertations et de débats préalables au sein du conseil national de la science, au cours d'un forum réunissant des représentants de la communauté scientifique et de l'industrie, et de consultations des organismes publics de recherche des ministères concernés.
Les priorités retenues porteront sur :
- les sciences du vivant (génomique, technologies appliquées à la médecine, sciences du cerveau...),
- les technologies de l'information et de la communication (micro et nanotechnologie, télécommunications, logiciels...),
- les sciences humaines et sociales (la ville, le travail, l'école...),
- l'énergie (énergies renouvelables, traitement des déchets nucléaires...),
- les transports et cadre de vie (transports terrestres, aéronautique...),
- le domaine spatial (observation de la Terre, développement de petits satellites...),
- les sciences de la Planète et de l'environnement (eau, prévention des catastrophes naturelles...).
Toutes ces priorités seront développées à travers des Actions Concertées Incitatives favorisant notamment l'émergence de disciplines nouvelles et la formation de spécialistes, des Actions Coordonnées concernant des recherches menées par divers organismes dans des domaines jugés particulièrement, et des Réseaux de Recherche Technologique associant des acteurs de la recherche publique et des industriels sur des projets, identifiés à partir des besoins, porteurs de création d'emploi.