Texte intégral
La France se félicite de la signature aujourd'hui par les présidents Bongo et Patassé de la déclaration solennelle qui prend acte de la fin de la mutinerie qui avait éclaté le 15 novembre dernier au sein de l'armée centrafricaine.
- Elle rend hommage aux efforts déployés sans relâche, à la demande des chefs d'Etat de France et d'Afrique réunis à Ouagadougou le 4 décembre dernier, par les présidents du Gabon, du Tchad, du Burkina-Faso et du Mali, dans la recherche d'une issue pacifique à la crise. Elle salue l'action persévérante et efficace menée sur le terrain par le général Amadou Toumani Touré, ancien chef d'Etat du Mali et coordonnateur de la médiation.
- Elle appelle les parties en présence à respecter scrupuleusement les engagements qu'elles ont pris aux termes de cette déclaration, ainsi que les recommandations du Comité de concertation et de dialogue.
- Elle les exhorte à poursuivre dans la voie de la concorde nationale, seule base possible pour les efforts nécessaires au redressement économique.
- Elle compte sur le Comité international de suivi et sur la force interafricaine de surveillance, qui va être mise rapidement en place, pour aider les parties en présence à mettre en oeuvre strictement cet accord.
- La France se réjouit du succès ainsi obtenu par les chefs d'Etat de la médiation qui ont su trouver un règlement pacifique à la crise touchant un pays africain ami.
- Elle rend hommage aux efforts déployés sans relâche, à la demande des chefs d'Etat de France et d'Afrique réunis à Ouagadougou le 4 décembre dernier, par les présidents du Gabon, du Tchad, du Burkina-Faso et du Mali, dans la recherche d'une issue pacifique à la crise. Elle salue l'action persévérante et efficace menée sur le terrain par le général Amadou Toumani Touré, ancien chef d'Etat du Mali et coordonnateur de la médiation.
- Elle appelle les parties en présence à respecter scrupuleusement les engagements qu'elles ont pris aux termes de cette déclaration, ainsi que les recommandations du Comité de concertation et de dialogue.
- Elle les exhorte à poursuivre dans la voie de la concorde nationale, seule base possible pour les efforts nécessaires au redressement économique.
- Elle compte sur le Comité international de suivi et sur la force interafricaine de surveillance, qui va être mise rapidement en place, pour aider les parties en présence à mettre en oeuvre strictement cet accord.
- La France se réjouit du succès ainsi obtenu par les chefs d'Etat de la médiation qui ont su trouver un règlement pacifique à la crise touchant un pays africain ami.