Texte intégral
Non prolifération nucléaire : fiche d'actualité
- En septembre prochain se réunira à Genève, la troisième conférence régulière d'examen du Traité de Non-Prolifération.
- A l'occasion de la dernière conférence d'examen, en 1980, les pays parties au TNP n'ont pu aboutir à un consensus sur un document final en raison de la controverse qui existe sur l'article 6 du Traité relatif aux engagements des pays nucléaires à l'égard du désarmement nucléaire.
- La France, qui n'est pas signataire du traité a marqué dès 1968 qu'en ce qui concerne les aspects directement liés à la non-prolifération du TNP, elle se comporterait comme les signataires.
- La Communauté internationale n'éprouve d'ailleurs aucun doute sur l'attachement profond de notre pays au régime de la non-prolifération des armes nucléaires - dont le TNP ne constitue qu'un aspect (la politique mise en oeuvre par la France, s'agissant du contrôle des exportations de matières sensibles, va d'ailleurs bien au-delà des dispositions du Traité).
- La spécificité de notre attitude est largement comprise et admise et, compte tenu des réserves d'un certain nombre de pays non-alignés importants à l'égard du TNP, qualifié de discriminatoire, nous place en meilleure position pour jouer un rôle actif dans la consolidation du régime de non-prolifération et la recherche d'un nouveau consensus international à ce sujet.
- En septembre prochain se réunira à Genève, la troisième conférence régulière d'examen du Traité de Non-Prolifération.
- A l'occasion de la dernière conférence d'examen, en 1980, les pays parties au TNP n'ont pu aboutir à un consensus sur un document final en raison de la controverse qui existe sur l'article 6 du Traité relatif aux engagements des pays nucléaires à l'égard du désarmement nucléaire.
- La France, qui n'est pas signataire du traité a marqué dès 1968 qu'en ce qui concerne les aspects directement liés à la non-prolifération du TNP, elle se comporterait comme les signataires.
- La Communauté internationale n'éprouve d'ailleurs aucun doute sur l'attachement profond de notre pays au régime de la non-prolifération des armes nucléaires - dont le TNP ne constitue qu'un aspect (la politique mise en oeuvre par la France, s'agissant du contrôle des exportations de matières sensibles, va d'ailleurs bien au-delà des dispositions du Traité).
- La spécificité de notre attitude est largement comprise et admise et, compte tenu des réserves d'un certain nombre de pays non-alignés importants à l'égard du TNP, qualifié de discriminatoire, nous place en meilleure position pour jouer un rôle actif dans la consolidation du régime de non-prolifération et la recherche d'un nouveau consensus international à ce sujet.