Texte intégral
Le Gouvernement français, profondément préoccupé par la poursuite d'un conflit désastreux, ne peut que s'alarmer du déclenchement de nouvelles opérations militaires lancées sur le territoire d'un Etat étranger et représentant un danger pour la sécurité de la région et l'intégrité des Etats voisins, ainsi qu'un risque d'extension du conflit.
- Ces tragiques événements rendent particulièrement nécessaires la cessation des hostilités et la recherche urgente d'un réglement du conflit, durable, global et acceptable par les deux parties, sur la base du respect de la souveraineté des deux Etats. Dans cette perspective, le gouvernement français souhaite vivement que soient repris activement les efforts de paix engagés de divers côtés, et, en particulier, que le Secrétaire général des Nations unies puisse donner une nouvelle impulsion à l'action qu'il a entreprise en vue de créer les conditions d'un règlement, sur la base notamment des résolutions adoptées par le Conseil de Sécurité et des propositions qu'il a lui-même avancées. La France se tient en liaison sur cette affaire avec ses partenaires européens et participe aux consultations engagées au Conseil de sécurité des Nations unies.
- La France ne peut, par ailleurs, que déplorer toute utilisation qui serait faite d'armes chimiques, en violation du protocole de Genève de 1925, dont elle est dépositaire.
- Ces tragiques événements rendent particulièrement nécessaires la cessation des hostilités et la recherche urgente d'un réglement du conflit, durable, global et acceptable par les deux parties, sur la base du respect de la souveraineté des deux Etats. Dans cette perspective, le gouvernement français souhaite vivement que soient repris activement les efforts de paix engagés de divers côtés, et, en particulier, que le Secrétaire général des Nations unies puisse donner une nouvelle impulsion à l'action qu'il a entreprise en vue de créer les conditions d'un règlement, sur la base notamment des résolutions adoptées par le Conseil de Sécurité et des propositions qu'il a lui-même avancées. La France se tient en liaison sur cette affaire avec ses partenaires européens et participe aux consultations engagées au Conseil de sécurité des Nations unies.
- La France ne peut, par ailleurs, que déplorer toute utilisation qui serait faite d'armes chimiques, en violation du protocole de Genève de 1925, dont elle est dépositaire.