Résumé
LES RELATIONS ENTRE LE RPR ET LE GOUVERNEMENT : CRITIQUE DE LA POLITIQUE GOUVERNEMENTALE NOTAMMENT EN CE QUI CONCERNE LE CHOMAGE ET L'EUROPE ( MAIS PAS DE VOLONTE DU RPR DE RENVERSER LE GOUVERNEMENT ), DE L'ABSENCE DE CONCERTATION ENTRE LE PREMIER MINISTRE ET SA MAJORITE ET DU MEPRIS DE M. BARRE POUR LES PROPOSITIONS DU RPR-PRECISIONS SUR L'ELECTION CANTONALE A STRASBOURG ( DEUX CANDIDATS DE LA MAJORITE FACE A FACE ).<br>- LA POLITIQUE GOUVERNEMENTALE : JUSTIFICATION DE LA POLITIQUE CONDUITE PAR M. CHIRAC QUAND IL ETAIT PREMIER MINISTRE ( CELUI-CI SOULIGNANT LA FAIBLE MARGE DE MANOEUVRE ACCORDEE AU PREMIER MINISTRE A SON EPOQUE EN-MATIERE ECONOMIQUE )-NECESSITE DE CHANGER LA POLITIQUE ACTUELLE QUI POUSSE LES FRANCAIS DANS L'OPPOSITION, DE RELANCER L'ECONOMIE POUR RESORBER LE CHOMAGE ( 600000 EMPLOIS PAR AN A CREER ) DE RESTAURER LA PLANIFICATION, DE SAUVEGARDER CERTAINS SECTEURS CREATEURS D'EMPLOIS, D'ALLEGER LES CHARGES SOCIALES DES PME-CARACTERE PREOCCUPANT DE LA D ENATALITE ( M. CHIRAC DEMANDE DES MESURES EN FAVEUR DE LA FAMILLE ET S'OPPOSE AU RENOUVELLEMENT DE LA LOI DE 1975 SUR L'AVORTEMENT ).<br>- L'EUROPE : MISE EN CAUSE DE LA POLITIQUE DE COMPROMIS DU GOUVERNEMENT ET DE L'ABSENCE DE VOLONTE POLITIQUE DE DEFENDRE LES INTERETS FRANCAIS DANS LES NEGOCIATIONS COMMUNAUTAIRES ( NOTAMMENT EN CE QUI CONCERNE LES MONTANTS COMPENSATOIRES ET LE SME )- DENONCIATION DES VIOLATIONS DU TRAITE DE ROME PAR L'ASSEMBLEE ( A PROPOS DU BUDGET 1979 ) ET PAR LA COUR DE JUSTICE ( SUR LA POLITIQUE NUCLEAIRE )-CRITIQUE DU SOUTIEN DU PREMIER MINISTRE A LA LISTE UDF POUR L'ELECTION EUROPEENNE, JUGE PEU CONFORME AUX INSTITUTIONS ET GENANT POUR LES MINISTRES RPR.<br>- ANNONCE D'UNE RENCONTRE ENTRE M. GISCARD D'ESTAING ET M. CHIRAC QUI LUI DEMANDERA DE CHANGER DE POLITIQUE CONFORMEMENT AUX VOTES DES ELECTEURS QUI CONDAMNENT LA POLITIQUE ACTUELLE. M. CHIRAC AFFIRME QU'AUCUN CANDIDAT DE LA MAJORITE ACTUELLE N'AURAIT DE CHANCE D'ETRE ELU EN-CAS D'ELECTION PRESIDENTIELLE. 25 VUES