Texte intégral
Une réunion avait été envisagée ce vendredi à Rome entre des représentants des septs pays industrialisés sur la question des otages au Liban. Elle n'aura finalement pas lieu. La France, comme certains de ses partenaires, avait, en effet, fait valoir qu'une telle réunion soulevait des objections dans son principe comme dans son opportunité.
- Chacun le sait, notre pays a toujours participé activement à la coopération internationale dans la lutte contre le terrorisme, que ce soit sur un plan bilatéral, au sein de la Communauté européenne ou dans les autres enceintes internationales appropriées. Toutefois le cadre des sept pays les plus industrialisés ne constitue pas l'instance adéquate pour examiner la situation des otages au Liban.
- La France considère que les problèmes difficiles et complexes de ce genre doivent, en raison des enjeux et des développements possibles, continuer à être traités sur le plan bilatéral, avec discrétion et en tenant compte de leur spécificité.
- Chacun le sait, notre pays a toujours participé activement à la coopération internationale dans la lutte contre le terrorisme, que ce soit sur un plan bilatéral, au sein de la Communauté européenne ou dans les autres enceintes internationales appropriées. Toutefois le cadre des sept pays les plus industrialisés ne constitue pas l'instance adéquate pour examiner la situation des otages au Liban.
- La France considère que les problèmes difficiles et complexes de ce genre doivent, en raison des enjeux et des développements possibles, continuer à être traités sur le plan bilatéral, avec discrétion et en tenant compte de leur spécificité.