Texte intégral
M. Roland Dumas a reçu le 20 janvier le Prince Sihanouk et s'est entretenu avec lui de l'évolution du dossier cambodgien, dont le développement récent est marqué par des signes encourageants. Ils ont convenu de poursuivre leurs contacts et de se tenir régulièrement informés, estimant que la paix au Cambodge ne saurait être rétablie de façon crédible, solide et durable, sans une réconciliation entre les Cambodgiens eux-mêmes.
- La France, que tant de liens unissent au Cambodge et à son peuple, réaffirme qu'elle est prête à apporter tout son concours à cette entreprise. Dans cet esprit, elle a soutenu, et continue de soutenir, l'initiative du Prince Sihanouk visant au développement d'un dialogue entre les parties cambodgiennes, autour de la personnalité qui depuis tant d'années incarne la volonté de survie et d'indépendance de la nation khmère, et qui est aujourd'hui la seule capable de réconcilier tous les Cambodgiens.
- Le ministre d'Etat a indiqué au Prince Sihanouk que la France restait à la disposition des parties cambodgiennes pour organiser, sous la forme qui leur apparaitrait appropriée, une rencontre susceptible de favoriser une véritable réconciliation nationale et d'ouvrir la voie à la tenue en 1989 d'une Conférence internationale dont la France est prête à assumer, le moment venu, l'organisation à Paris. A cette fin, elle se propose d'intensifier son activité diplomatique auprès de chacun des pays concernés.
- La France, que tant de liens unissent au Cambodge et à son peuple, réaffirme qu'elle est prête à apporter tout son concours à cette entreprise. Dans cet esprit, elle a soutenu, et continue de soutenir, l'initiative du Prince Sihanouk visant au développement d'un dialogue entre les parties cambodgiennes, autour de la personnalité qui depuis tant d'années incarne la volonté de survie et d'indépendance de la nation khmère, et qui est aujourd'hui la seule capable de réconcilier tous les Cambodgiens.
- Le ministre d'Etat a indiqué au Prince Sihanouk que la France restait à la disposition des parties cambodgiennes pour organiser, sous la forme qui leur apparaitrait appropriée, une rencontre susceptible de favoriser une véritable réconciliation nationale et d'ouvrir la voie à la tenue en 1989 d'une Conférence internationale dont la France est prête à assumer, le moment venu, l'organisation à Paris. A cette fin, elle se propose d'intensifier son activité diplomatique auprès de chacun des pays concernés.