Texte intégral
Après consultation du Président de la République, le ministre des affaires étrangères a fait la déclaration suivante :
- La France est favorable à une cessation des hostilités dans le strict respect de l'ensemble des résolutions du Conseil de Sécurité.
- Mais elle ne saurait courir le risque d'une manoeuvre dilatoire au moment où nos soldats sont engagés sur le terrain.
- Elle estime qu'il appartient au Conseil de Sécurité de prendre acte des déclarations officielles des autorités irakiennes acceptant de se conformer à toutes les décisions de l'ONU, avant d'examiner les modalités d'un éventuel cessez-le-feu.
- La France est favorable à une cessation des hostilités dans le strict respect de l'ensemble des résolutions du Conseil de Sécurité.
- Mais elle ne saurait courir le risque d'une manoeuvre dilatoire au moment où nos soldats sont engagés sur le terrain.
- Elle estime qu'il appartient au Conseil de Sécurité de prendre acte des déclarations officielles des autorités irakiennes acceptant de se conformer à toutes les décisions de l'ONU, avant d'examiner les modalités d'un éventuel cessez-le-feu.