Texte intégral
La France participe aujourd'hui, en tant qu'observateur à la réunion du Conseil de Direction de l'Agence internationale de l'Energie.
- Cette présence manifeste le resserrement des liens avec l'AIE, des experts français ont déjà participé à des groupes de travail informels de l'Agence.
- L'AIE est en effet apparue comme un organisme très utile de concertation entre experts dont les travaux font référence. Elle a perdu la signification politique qu'elle avait à ses débuts et qui nous avait conduits alors à rester à l'écart.
- C'est ce qui a poussé la France à prévoir l'ouverture de négociations en vue de son adhésion. Cette perspective a été envisagée depuis plusieurs mois et ne doit donc rien à la conjoncture. Il est apparu nécessaire que la France puisse participer aux réflexions engagées par ses partenaires de l'OCDE et y apporter une contribution. Le lien de plus en plus étroit entre politique énergétique et environnement a notamment été à l'origine de la décision.
- Cette adhésion ne remet bien évidemment pas en cause l'autonomie de décision de la France en matière énergétique et la spécificité de sa politique dans ce domaine. Cela signifie que notre pays continuera à privilégier le dialogue qu'il entretient avec les pays consommateurs, mais aussi avec tous les producteurs de pétrole et, parmi ceux-ci les pays membres de l'OPEP.
- Cette présence manifeste le resserrement des liens avec l'AIE, des experts français ont déjà participé à des groupes de travail informels de l'Agence.
- L'AIE est en effet apparue comme un organisme très utile de concertation entre experts dont les travaux font référence. Elle a perdu la signification politique qu'elle avait à ses débuts et qui nous avait conduits alors à rester à l'écart.
- C'est ce qui a poussé la France à prévoir l'ouverture de négociations en vue de son adhésion. Cette perspective a été envisagée depuis plusieurs mois et ne doit donc rien à la conjoncture. Il est apparu nécessaire que la France puisse participer aux réflexions engagées par ses partenaires de l'OCDE et y apporter une contribution. Le lien de plus en plus étroit entre politique énergétique et environnement a notamment été à l'origine de la décision.
- Cette adhésion ne remet bien évidemment pas en cause l'autonomie de décision de la France en matière énergétique et la spécificité de sa politique dans ce domaine. Cela signifie que notre pays continuera à privilégier le dialogue qu'il entretient avec les pays consommateurs, mais aussi avec tous les producteurs de pétrole et, parmi ceux-ci les pays membres de l'OPEP.