Texte intégral
Mesdames et Messieurs,
A l'occasion du passage toujours très apprécié du Secrétaire général des Nations unies à Paris, nous avons longuement discuté, avant et pendant le déjeuner, de toutes les questions qui intéressent à l'heure actuelle le Conseil de sécurité et elles sont nombreuses.
Ceci a confirmé le très bon esprit de coopération, de confiance mutuelle qui est très fort entre la France et le Secrétaire général des Nations unies, M. Kofi Annan. M. Kofi Annan va dire quelques mots et nous aurons quelques minutes pour répondre à vos questions le cas échéant.
Q - (sur l'Algérie)
R - J'ajoute simplement que je crois qu'il ne faut pas négliger le fait que la Troïka ait pu y aller. Je sais que les résultats ont provoqué une déception par rapport à des attentes certainement exagérées. Dans le contexte extrêmement délicat dans lequel nous sommes, c'est un petit pas. C'est un petit pas positif et qui ne peut que conduire à l'instauration d'un dialogue qui sera une bonne chose.
Q - (sur la MISAB)
R - Je me réjouis beaucoup de la façon dont le Secrétaire général aborde cette question car c'est exactement ce que la France souhaite en ce qui concerne la République centrafricaine.
Q - (sur l'Iraq)
R - Pour le moment, il faut poursuivre les efforts politiques et diplomatiques pour trouver une solution. La solution, chacun la connaît. Elle passe par le fait que l'Iraq accepte de coopérer avec la Commission comme les résolutions le prévoient./.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 26 septembre 2001)
A l'occasion du passage toujours très apprécié du Secrétaire général des Nations unies à Paris, nous avons longuement discuté, avant et pendant le déjeuner, de toutes les questions qui intéressent à l'heure actuelle le Conseil de sécurité et elles sont nombreuses.
Ceci a confirmé le très bon esprit de coopération, de confiance mutuelle qui est très fort entre la France et le Secrétaire général des Nations unies, M. Kofi Annan. M. Kofi Annan va dire quelques mots et nous aurons quelques minutes pour répondre à vos questions le cas échéant.
Q - (sur l'Algérie)
R - J'ajoute simplement que je crois qu'il ne faut pas négliger le fait que la Troïka ait pu y aller. Je sais que les résultats ont provoqué une déception par rapport à des attentes certainement exagérées. Dans le contexte extrêmement délicat dans lequel nous sommes, c'est un petit pas. C'est un petit pas positif et qui ne peut que conduire à l'instauration d'un dialogue qui sera une bonne chose.
Q - (sur la MISAB)
R - Je me réjouis beaucoup de la façon dont le Secrétaire général aborde cette question car c'est exactement ce que la France souhaite en ce qui concerne la République centrafricaine.
Q - (sur l'Iraq)
R - Pour le moment, il faut poursuivre les efforts politiques et diplomatiques pour trouver une solution. La solution, chacun la connaît. Elle passe par le fait que l'Iraq accepte de coopérer avec la Commission comme les résolutions le prévoient./.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 26 septembre 2001)