Texte intégral
Premier communiqué.
- Devant la nouvelle dégradation de la situation en Bosnie et l'échec des tentatives diplomatiques récentes, le Président de la République, après s'en être entretenu avec le Président Clinton, a écrit à celui-ci ainsi qu'à MM. Eltsine, Boutros-Ghali et Papandreou, président en exercice de l'Union européenne.
- Le Président de la République estime que le processus de négociation visant à trouver une solution politique à la crise de Bosnie doit être relancé sans délai, en réunissant les efforts de l'Union européenne, des Etats-Unis et de la Russie. A cet effet, il a invité le secrétaire général des Nations unies à prendre cette initiative.
- Deuxième communiqué.
- Le Président de la République prend acte de l'annonce faite à Moscou aujourd'hui d'un accord des Présidents russe et américain pour une conférence au sommet sur la Bosnie qui réunirait les Nations unies, l'Union européenne, les Etats-Unis et la Russie.
- Cette proposition répond à la demande qu'il avait lui-même exprimée et confirmée par les lettres qu'il a adressées vendredi au Président Clinton et lundi à M. Boutros Ghali, au Président Eltsine, à M. Papandréou, Président en exercice de l'Union européenne, et lors de sa conversation téléphonique avec le chancelier Kohl.
- Compte tenu de l'aggravation de la situation en Bosnie, le Président de la République insiste sur l'urgence d'une telle conférence qui devrait réunir, dans les tout prochains jours, dans un premier temps et à l'initiative du secrétaire général des Nations unies, les ministres des affaires étrangères concernés afin de définir les termes d'un règlement d'ensemble du conflit dans l'ex-Yougoslavie acceptable par toutes les parties.
- Le moment lui semble en effet venu de faire comprendre avec détermination aux différents protagonistes que la seule issue réaliste à ce conflit meurtrier repose sur l'acceptation du plan d'action présenté par l'Union européenne en novembre 93, complété par les acquis des négociations menées, depuis lors, par les Etats-Unis d'une part et la Russie d'autre part.
- Devant la nouvelle dégradation de la situation en Bosnie et l'échec des tentatives diplomatiques récentes, le Président de la République, après s'en être entretenu avec le Président Clinton, a écrit à celui-ci ainsi qu'à MM. Eltsine, Boutros-Ghali et Papandreou, président en exercice de l'Union européenne.
- Le Président de la République estime que le processus de négociation visant à trouver une solution politique à la crise de Bosnie doit être relancé sans délai, en réunissant les efforts de l'Union européenne, des Etats-Unis et de la Russie. A cet effet, il a invité le secrétaire général des Nations unies à prendre cette initiative.
- Deuxième communiqué.
- Le Président de la République prend acte de l'annonce faite à Moscou aujourd'hui d'un accord des Présidents russe et américain pour une conférence au sommet sur la Bosnie qui réunirait les Nations unies, l'Union européenne, les Etats-Unis et la Russie.
- Cette proposition répond à la demande qu'il avait lui-même exprimée et confirmée par les lettres qu'il a adressées vendredi au Président Clinton et lundi à M. Boutros Ghali, au Président Eltsine, à M. Papandréou, Président en exercice de l'Union européenne, et lors de sa conversation téléphonique avec le chancelier Kohl.
- Compte tenu de l'aggravation de la situation en Bosnie, le Président de la République insiste sur l'urgence d'une telle conférence qui devrait réunir, dans les tout prochains jours, dans un premier temps et à l'initiative du secrétaire général des Nations unies, les ministres des affaires étrangères concernés afin de définir les termes d'un règlement d'ensemble du conflit dans l'ex-Yougoslavie acceptable par toutes les parties.
- Le moment lui semble en effet venu de faire comprendre avec détermination aux différents protagonistes que la seule issue réaliste à ce conflit meurtrier repose sur l'acceptation du plan d'action présenté par l'Union européenne en novembre 93, complété par les acquis des négociations menées, depuis lors, par les Etats-Unis d'une part et la Russie d'autre part.