Texte intégral
Jean-Pierre Chevènement estime qu'en raison de son désaccord sur le processus engagé par le gouvernement à propos de la Corse il ne lui est plus possible d'exercer ses responsabilités de Ministre de l'Intérieur.
Je veux, particulièrement dans ce moment précis, l'assurer de mon amitié. J'ajoute que si je respecte son opinion sur le problème corse, je ne la partage pas et je regrette son départ qui nous prive de son expérience et de l'étendue de ses compétences.
Cette décision ne remet cependant nullement en cause la majorité de gauche plurielle. Toutes ses composantes doivent continuer de travailler ensemble en son sein, sans qu'aucune ne renonce à l'expression de sa singularité et à son apport original à l'action du gouvernement.
(source http://www.pcf.fr, le 5 décembre 2002)
Je veux, particulièrement dans ce moment précis, l'assurer de mon amitié. J'ajoute que si je respecte son opinion sur le problème corse, je ne la partage pas et je regrette son départ qui nous prive de son expérience et de l'étendue de ses compétences.
Cette décision ne remet cependant nullement en cause la majorité de gauche plurielle. Toutes ses composantes doivent continuer de travailler ensemble en son sein, sans qu'aucune ne renonce à l'expression de sa singularité et à son apport original à l'action du gouvernement.
(source http://www.pcf.fr, le 5 décembre 2002)