Déclaration de M. Hubert Védrine, ministre des affaires étrangères, en réponse à une question sur les otages français en Tchétchénie, à l'Assemblée nationale le 21 mars 2000.

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Texte intégral

Dans le passé, j'ai dû suivre à plusieurs reprises des affaires d'otages, et je mesure le calvaire que constitue celle-ci pour la famille et ses proches. Depuis son enlèvement, les autorités françaises n'ont jamais cessé de s'en occuper.
Le président de la République, le Premier ministre et moi-même avons saisi chaque occasion de faire savoir aux autorités russes le prix que nous attachons à une libération rapide. J'ai reçu sa famille, et je lui redis, par votre intermédiaire, que nous ferons tout ce qui dépend de nous pour qu'il soit libéré au plus vite.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 23 mars 2000)

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