Texte intégral
Monsieur le président de l'Assemblée nationale,
Mesdames et Messieurs les députés,
Je voudrais m'associer au président Debré pour saluer vos présidents de groupe et l'ensemble des membres du Parlement, pour en effet cette capacité qui a été la nôtre, tous, d'être l'expression de l'unité nationale. Je voudrais vous remercier personnellement, Monsieur le président de l'Assemblée nationale, de votre rôle dans cette expression de l'unité nationale.
C'est autour du président de la République que nous avons choisi d'exprimer ce qu'est la force de la politique de la France au Proche-Orient, ce qu'est notre politique, sans aucune concession. Et nous avons, vous l'avez remarqué, pendant ces quatre mois, conduit cette politique sans inflexion, dans la fidélité à nos engagements et dans la loyauté à nos convictions. Et, aujourd'hui, grâce à vous tous, je pense que nous pouvons célébrer le retour prochain - puisqu'ils sont dans un avion de la France et qu'ils volent vers Paris - de nos deux compatriotes, saluer leur courage, saluer la dignité de leurs familles, saluer aussi la mobilisation dans le pays, notamment la mobilisation de leurs confrères.
J'ajouterai, comme le président de la République l'a fait ce matin, que nous pensons à tous les otages disparus, cruellement disparus, avec des images insupportables, avec des violences intolérables. La lutte contre le terrorisme doit nous mobiliser à chaque instant, sans concession. Et nous pensons naturellement à nos compatriotes, I. Bétancourt et à tous les autres, qui sont aujourd'hui dans des situations difficiles, des situations douloureuses. Le terrorisme est l'adversaire de toute démocratie. C'est le message de la France.
Merci d'avoir donné ce visage rassemblé de notre pays.
(Source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 24 décembre 2004)
Mesdames et Messieurs les députés,
Je voudrais m'associer au président Debré pour saluer vos présidents de groupe et l'ensemble des membres du Parlement, pour en effet cette capacité qui a été la nôtre, tous, d'être l'expression de l'unité nationale. Je voudrais vous remercier personnellement, Monsieur le président de l'Assemblée nationale, de votre rôle dans cette expression de l'unité nationale.
C'est autour du président de la République que nous avons choisi d'exprimer ce qu'est la force de la politique de la France au Proche-Orient, ce qu'est notre politique, sans aucune concession. Et nous avons, vous l'avez remarqué, pendant ces quatre mois, conduit cette politique sans inflexion, dans la fidélité à nos engagements et dans la loyauté à nos convictions. Et, aujourd'hui, grâce à vous tous, je pense que nous pouvons célébrer le retour prochain - puisqu'ils sont dans un avion de la France et qu'ils volent vers Paris - de nos deux compatriotes, saluer leur courage, saluer la dignité de leurs familles, saluer aussi la mobilisation dans le pays, notamment la mobilisation de leurs confrères.
J'ajouterai, comme le président de la République l'a fait ce matin, que nous pensons à tous les otages disparus, cruellement disparus, avec des images insupportables, avec des violences intolérables. La lutte contre le terrorisme doit nous mobiliser à chaque instant, sans concession. Et nous pensons naturellement à nos compatriotes, I. Bétancourt et à tous les autres, qui sont aujourd'hui dans des situations difficiles, des situations douloureuses. Le terrorisme est l'adversaire de toute démocratie. C'est le message de la France.
Merci d'avoir donné ce visage rassemblé de notre pays.
(Source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 24 décembre 2004)