Texte intégral
Mes chers collègues,
Cher Henri Proglio,
Monsieur le ministre,
Cher Jean Audouze,
Comme vous le savez, le Sénat a souhaité que les espaces dont il a la charge, le Palais du Luxembourg, le Musée, l'orangerie, le jardin, soient l'occasion pour lui de dialoguer avec le public par des événements et des manifestations de toutes natures.
Il y a peu, nous votions une charte de l'environnement désormais intégrée à la Constitution. Récemment, nous votions une nouvelle loi sur l'énergie. Depuis trois ans, le terme de développement durable est consacré dans l'intitulé d'un ministère.
Et l'opinion est désormais plus consciente de cet enjeu. La semaine du développement durable, qui s'est ouverte hier, est l'une des occasions de mieux communiquer sur les exigences de l'environnement. Voilà pourquoi le Sénat est heureux de marquer cette semaine en accueillant une belle opération pédagogique conçue par le groupe Véolia environnement et l'Unesco, représenté ici par la commission française.
Elle permettra à un large public de constater que l'environnement est la préoccupation commune des enfants de tous les continents et que notre planète, face à ces enjeux, est un village.
Je tiens à saluer d'abord toutes les équipes qui ont monté cette opération complexe, faisant travailler des écoliers de 20 pays, pour dessiner des drapeaux sur le thème de l'environnement et bien sûr, tous les enfants et leurs enseignants, en particulier ceux de Roubaix ou d'ailleurs qui sont ici aujourd'hui.
Il me plaît également de saluer l'engagement citoyen d'une entreprise française, forte dans le domaine de l'environnement et en particulier dans celui de l'eau.
Au moment où il est beaucoup question d'Europe, du modèle français, des valeurs communes du continent européen , il me plaît de relever qu'au-delà de cette entreprise en particulier, nous devons être fiers des modes particuliers d'intervention que nos entreprises et nos collectivités locales ont imaginé en France.
Les régimes de concession notamment, que les pays étrangers nous envient, sont un moyen ancien en France, mais moderne, d'associer public et privé et de faire entrer les préoccupations d'environnement dans la vie quotidienne.
Je suis donc heureux que le Sénat s'associe à une des entreprises qui illustre avec éclat la pertinence de ce modèle pour offrir aux enfants l'occasion de devenir en quelque sorte, pour l'Unesco et pour la planète, des ambassadeurs de l'environnement.
(Source http://www.senat.fr, le 6 juin 2005)
Cher Henri Proglio,
Monsieur le ministre,
Cher Jean Audouze,
Comme vous le savez, le Sénat a souhaité que les espaces dont il a la charge, le Palais du Luxembourg, le Musée, l'orangerie, le jardin, soient l'occasion pour lui de dialoguer avec le public par des événements et des manifestations de toutes natures.
Il y a peu, nous votions une charte de l'environnement désormais intégrée à la Constitution. Récemment, nous votions une nouvelle loi sur l'énergie. Depuis trois ans, le terme de développement durable est consacré dans l'intitulé d'un ministère.
Et l'opinion est désormais plus consciente de cet enjeu. La semaine du développement durable, qui s'est ouverte hier, est l'une des occasions de mieux communiquer sur les exigences de l'environnement. Voilà pourquoi le Sénat est heureux de marquer cette semaine en accueillant une belle opération pédagogique conçue par le groupe Véolia environnement et l'Unesco, représenté ici par la commission française.
Elle permettra à un large public de constater que l'environnement est la préoccupation commune des enfants de tous les continents et que notre planète, face à ces enjeux, est un village.
Je tiens à saluer d'abord toutes les équipes qui ont monté cette opération complexe, faisant travailler des écoliers de 20 pays, pour dessiner des drapeaux sur le thème de l'environnement et bien sûr, tous les enfants et leurs enseignants, en particulier ceux de Roubaix ou d'ailleurs qui sont ici aujourd'hui.
Il me plaît également de saluer l'engagement citoyen d'une entreprise française, forte dans le domaine de l'environnement et en particulier dans celui de l'eau.
Au moment où il est beaucoup question d'Europe, du modèle français, des valeurs communes du continent européen , il me plaît de relever qu'au-delà de cette entreprise en particulier, nous devons être fiers des modes particuliers d'intervention que nos entreprises et nos collectivités locales ont imaginé en France.
Les régimes de concession notamment, que les pays étrangers nous envient, sont un moyen ancien en France, mais moderne, d'associer public et privé et de faire entrer les préoccupations d'environnement dans la vie quotidienne.
Je suis donc heureux que le Sénat s'associe à une des entreprises qui illustre avec éclat la pertinence de ce modèle pour offrir aux enfants l'occasion de devenir en quelque sorte, pour l'Unesco et pour la planète, des ambassadeurs de l'environnement.
(Source http://www.senat.fr, le 6 juin 2005)