Texte intégral
La charte de la santé.
- Le Conseil des ministres a approuvé une communication du ministre de la santé présentant la charte de la santé.
- Dans le respect des grandes libertés médicales et du pluralisme, facteur d'émulation et de complémentarité, la charte définit pour les années à-venir les orientations d'une nouvelle politique de santé répondant aux besoins nouveaux de tous les Français, quelle que soit leur condition, et au souci de justice sociale devant la maladie et les soins.
- La priorité donnée à la prévention, une nouvelle organisation des soins hospitaliers valorisant l'hôpital général, la revalorisation des fonctions du médecin généraliste, l'encouragement des expériences nouvelles et diversifiées, un décloisonnement des institutions, constituent les axes de cette nouvelle politique de qualité en-matière de soins médicaux.
- La santé est une richesse nationale : ceci est vrai au plan des hommes comme au plan de l'économie, notamment de branches industrielles comme le bio-médi cal et le médicament. Dans ce dernier cas, le secteur public élargi permettra de mieux répondre aux intérêts du pays et favorisera la coopération internationale.
- L'investissement considérable que consent la nation doit aboutir à une meilleure qualité de la vie. La maîtrise de ces dépenses, ainsi qu'une plus grande rigueur dans la gestion, feront appel à la participation réelle et active de la population et des professionnels. La décentralisation, qui accroîtra le rôle des élus, permettra, de la part de tous ceux qui en sont responsables, une gestion plus efficace de la santé.
- La charte propose à chaque Française et à chaque Français de participer à une grande tâche nationale, enjeu et atout de leur avenir.
- Le Conseil des ministres a approuvé une communication du ministre de la santé présentant la charte de la santé.
- Dans le respect des grandes libertés médicales et du pluralisme, facteur d'émulation et de complémentarité, la charte définit pour les années à-venir les orientations d'une nouvelle politique de santé répondant aux besoins nouveaux de tous les Français, quelle que soit leur condition, et au souci de justice sociale devant la maladie et les soins.
- La priorité donnée à la prévention, une nouvelle organisation des soins hospitaliers valorisant l'hôpital général, la revalorisation des fonctions du médecin généraliste, l'encouragement des expériences nouvelles et diversifiées, un décloisonnement des institutions, constituent les axes de cette nouvelle politique de qualité en-matière de soins médicaux.
- La santé est une richesse nationale : ceci est vrai au plan des hommes comme au plan de l'économie, notamment de branches industrielles comme le bio-médi cal et le médicament. Dans ce dernier cas, le secteur public élargi permettra de mieux répondre aux intérêts du pays et favorisera la coopération internationale.
- L'investissement considérable que consent la nation doit aboutir à une meilleure qualité de la vie. La maîtrise de ces dépenses, ainsi qu'une plus grande rigueur dans la gestion, feront appel à la participation réelle et active de la population et des professionnels. La décentralisation, qui accroîtra le rôle des élus, permettra, de la part de tous ceux qui en sont responsables, une gestion plus efficace de la santé.
- La charte propose à chaque Française et à chaque Français de participer à une grande tâche nationale, enjeu et atout de leur avenir.