Texte intégral
Un exemple de coopération réussie entre le secteur public et l'industrie.
- Le ministre de la recherche et de la technologie a présenté au Conseil des ministres une communication sur la politique de valorisation de la recherche biomédicale menée depuis 1983.
- Cette politique vise à développer la coopération entre les grands organismes publics de recherche (centre national de la recherche scientifique, institut national de la santé et de la recherche médicale, commissariat à l'énergie atomique, institut Pasteur, etc), les laboratoires universitaires, l'industrie pharmaceutique et le système de soins, de façon à permettre la diffusion et la mise en oeuvre des résultats des recherches. Elle s'est d'ores et déjà traduite par des résultats positifs.
- En 1984, 2240 chercheurs et 3600 chercheurs universitaires ont participé directement à des activités de valorisation de la recherche biomédicale.
- Le nombre des contrats passés par le CNRS, et surtout par l'INSERM a augmenté de 43 % entre 1983 et 1984, traduisant ainsi la disponibilité des équipes concernées et l'intérêt croissant des industriels pour la valorisation de la recherche fondamentale.
- Le nombre des brevets déposés par les organismes ou par les industriels au nom des chercheurs du service public a presque doublé entre 1983 et 1984. En 1985, 138 brevets ont été pris.
- Plus d'une centaine de produits et appareils issus d'une collaboration entre recherche publique et firmes industrielles ont été commercialisés. Les laboratoires universitaires impliqués dans la recherche biomédicale contribuent activement à ces transferts technologiques.
- L'effort de valorisation ainsi entrepris sera poursuivi dans l'avenir en orientant notre recherche publique dans les secteurs où la demande industrielle et les besoins de santé l'exigent, et en invitant les entreprises à consolider leurs activités par le développement des recherches les plus prometteuses issues du secteur public.
- Le ministre de la recherche et de la technologie a présenté au Conseil des ministres une communication sur la politique de valorisation de la recherche biomédicale menée depuis 1983.
- Cette politique vise à développer la coopération entre les grands organismes publics de recherche (centre national de la recherche scientifique, institut national de la santé et de la recherche médicale, commissariat à l'énergie atomique, institut Pasteur, etc), les laboratoires universitaires, l'industrie pharmaceutique et le système de soins, de façon à permettre la diffusion et la mise en oeuvre des résultats des recherches. Elle s'est d'ores et déjà traduite par des résultats positifs.
- En 1984, 2240 chercheurs et 3600 chercheurs universitaires ont participé directement à des activités de valorisation de la recherche biomédicale.
- Le nombre des contrats passés par le CNRS, et surtout par l'INSERM a augmenté de 43 % entre 1983 et 1984, traduisant ainsi la disponibilité des équipes concernées et l'intérêt croissant des industriels pour la valorisation de la recherche fondamentale.
- Le nombre des brevets déposés par les organismes ou par les industriels au nom des chercheurs du service public a presque doublé entre 1983 et 1984. En 1985, 138 brevets ont été pris.
- Plus d'une centaine de produits et appareils issus d'une collaboration entre recherche publique et firmes industrielles ont été commercialisés. Les laboratoires universitaires impliqués dans la recherche biomédicale contribuent activement à ces transferts technologiques.
- L'effort de valorisation ainsi entrepris sera poursuivi dans l'avenir en orientant notre recherche publique dans les secteurs où la demande industrielle et les besoins de santé l'exigent, et en invitant les entreprises à consolider leurs activités par le développement des recherches les plus prometteuses issues du secteur public.