Texte intégral
Le courage politique nous commande d'agir, et, en particulier, de demander la cessation des hostilités le plus rapidement possible : c'est le discours de la paix et de la démocratie. C'est ce discours que nous tiendrons au conseil de sécurité des nations unies que nous présidons durant le mois de juillet.
Il faut que nous trouvions les conditions politiques d'un cessez-le-feu.
Dans ces conditions, il y a, d'un côté, l'arrêt des hostilités, et de l'autre, en effet, la mise en place au Sud-Liban de l'armée libanaise qui doit s'y déployer ; pour cela, certains parlent d'une force internationale. Comprenez-bien que s'il n'y a pas de cessez-le-feu, il ne peut pas y avoir d'intervention d'une force armée étrangère.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 25 juillet 2006