Texte intégral
Face à l'absence de réponse de la part des Iraniens, le président Chirac a proposé à New York une double suspension : suspension des activités liées à l'enrichissement de l'uranium par les Iraniens, suspension de la part de la communauté internationale d'aller plus loin dans les sanctions. Les Iraniens n'ont pas répondu à cela. Nous avions fait avec les Américains auparavant une proposition très positive sur le nucléaire civil, sur le plan économique et politique. Ils ont tout refusé. A partir de là, nous n'avons qu'une seule solution, revenir devant le Conseil de sécurité des Nations unies, travailler, en effet avec les Américains, les Européens, les Russes et les Chinois, trouver des mesures qui soient à la fois progressives, proportionnées et réversibles, pour affirmer notre fermeté et aussi notre unité par rapport aux Iraniens.
Ou les Iraniens restent totalement isolés par rapport à la communauté internationale, et ils doivent en subir les conséquences, ou alors ils acceptent de négocier, et nous sommes tout à fait prêts à négocier avec eux.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 19 octobre 2006
Ou les Iraniens restent totalement isolés par rapport à la communauté internationale, et ils doivent en subir les conséquences, ou alors ils acceptent de négocier, et nous sommes tout à fait prêts à négocier avec eux.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 19 octobre 2006