Communiqué des services du premier ministre, en date du 22 juillet 1996, sur l'assemblée des conseillers commerciaux et financiers et sur le développement des activités des entreprises françaises à l'étranger.

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Intervenant(s) : 

Auteur(s) moral(aux) : Premier ministre

Circonstance : Assemblée des conseillers commerciaux et financiers à Paris les 24 et 25 juillet 1996

Texte intégral

Le Premier ministre, M. Alain Juppé ouvrira le mercredi 24 juillet à 12h15 l'Assemblée des Conseillers commerciaux et financiers. Cette manifestation réunira à Bercy autour de Jean Arthuis et d'Yves Galland, l'ensemble du réseau des Conseillers Commerciaux et des Conseillers Financiers en poste à l'étranger. De nombreux chefs d'entreprise assisteront à l'intervention du Premier ministre qui sera consacrée aux enjeux de la mondialisation des échanges, aux moyens de soutenir nos entreprises dans leur développement international, et à la mobilisation de l'ensemble des administrations économiques et financières dans cette perspective.
- C'est la première fois qu'un Chef de gouvernement s'adresse directement aux spécialistes de la diplomatie économique et financière et du soutien aux entreprises. En participant à cette manifestation au cours de laquelle interviendront également MM. Bernard Pons, Franck Borotra et Jean-Pierre Raffarin, M. Alain Juppé souhaite illustrer la priorité qu'attache le Gouvernement, dans la ligne tracée par le Président de la République, à la promotion et à la défense de nos entreprises sur les marchés extérieurs.
- Cette Assemblée sera l'occasion pour le Premier ministre de faire le point sur les réformes engagées par le Gouvernement dans le domaine du Commerce extérieur ; il évoquera les conclusions du récent G7 de Lyon, les perspectives des négociations commerciales et financières multilatérales, et la marche vers l'Union économique et Monétaire.
- Les journées des 24 et 25 juillet seront aussi, à travers les débats conduits par MM. Jean Arthuis et Yves Galland, l'occasion de mieux identifier les demandes des entreprises, en particulier des petites et moyennes industries. Elles permettront notamment de mieux cerner les enjeux et les difficultés d'une pénétration accrue sur les marchés émergents, et de mobiliser le réseau des chefs de poste sur les priorités françaises dans les négociations commerciales et financières multilatérales.