Texte intégral
Monsieur le Président de la Commission politique, Cher André,
Messieurs les Présidents d'Assemblées parlementaires,
Mesdames et Messieurs les Parlementaires,
Honorables Invités,
Mesdames et Messieurs, Chers Amis francophones,
Il y a tout juste un an, le 10 avril 2008, quelques semaines seulement après ma nomination au sein du gouvernement de la République française, j'adressais déjà un message à votre commission politique réunie à Strasbourg.
Quelques mois plus tard, je vous retrouvais à l'occasion de votre session plénière de Québec avant d'être auditionné par votre section française bicamérale.
Vous le voyez, j'attache beaucoup d'intérêt à suivre régulièrement les travaux de votre assemblée et, c'est toujours pour moi un grand honneur de m'exprimer devant le parlement des parlements francophones.
Que vous ayez choisi le Laos pour vous réunir aujourd'hui, alors que ce pays avait si bien accueilli la conférence ministérielle de novembre 2007 à Vientiane est un signe encourageant de notre attachement commun au développement de la Francophonie en Asie. C'est également la marque d'un intérêt exceptionnel du pays hôte pour la Francophonie qui mérite d'être ici salué. Je l'ai écrit, il y a quelques semaines, au ministre laotien chargé de la Francophonie, M. Soubanh Sithirath, en soulignant que la France, pour sa part, considérait que la place de l'Asie au sein de la Francophonie justifiait pleinement sa légitime aspiration à recevoir un jour, un sommet de chefs d'Etats et de gouvernements.
Quelques mois après le Sommet de Québec qui marque, à notre sens, une étape importante du renouveau de la Francophonie en s'emparant notamment des défis mondiaux, votre commission politique, par la qualité de ses travaux, constitue un instrument déterminant de l'observation de la démocratie dans l'espace francophone. Face aux défis modernes de l'alerte précoce et du renforcement des capacités de gestion de crise au sein de l'espace francophone, votre commission dispose aussi d'atouts considérables en lien avec l'OIF.
En vous encourageant sur cette voie et en attendant de vous revoir à Paris en juillet prochain, à l'occasion de votre prochaine session annuelle, je souhaite de fructueux travaux et vous remercie de votre aimable attention.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 22 avril 2009
Messieurs les Présidents d'Assemblées parlementaires,
Mesdames et Messieurs les Parlementaires,
Honorables Invités,
Mesdames et Messieurs, Chers Amis francophones,
Il y a tout juste un an, le 10 avril 2008, quelques semaines seulement après ma nomination au sein du gouvernement de la République française, j'adressais déjà un message à votre commission politique réunie à Strasbourg.
Quelques mois plus tard, je vous retrouvais à l'occasion de votre session plénière de Québec avant d'être auditionné par votre section française bicamérale.
Vous le voyez, j'attache beaucoup d'intérêt à suivre régulièrement les travaux de votre assemblée et, c'est toujours pour moi un grand honneur de m'exprimer devant le parlement des parlements francophones.
Que vous ayez choisi le Laos pour vous réunir aujourd'hui, alors que ce pays avait si bien accueilli la conférence ministérielle de novembre 2007 à Vientiane est un signe encourageant de notre attachement commun au développement de la Francophonie en Asie. C'est également la marque d'un intérêt exceptionnel du pays hôte pour la Francophonie qui mérite d'être ici salué. Je l'ai écrit, il y a quelques semaines, au ministre laotien chargé de la Francophonie, M. Soubanh Sithirath, en soulignant que la France, pour sa part, considérait que la place de l'Asie au sein de la Francophonie justifiait pleinement sa légitime aspiration à recevoir un jour, un sommet de chefs d'Etats et de gouvernements.
Quelques mois après le Sommet de Québec qui marque, à notre sens, une étape importante du renouveau de la Francophonie en s'emparant notamment des défis mondiaux, votre commission politique, par la qualité de ses travaux, constitue un instrument déterminant de l'observation de la démocratie dans l'espace francophone. Face aux défis modernes de l'alerte précoce et du renforcement des capacités de gestion de crise au sein de l'espace francophone, votre commission dispose aussi d'atouts considérables en lien avec l'OIF.
En vous encourageant sur cette voie et en attendant de vous revoir à Paris en juillet prochain, à l'occasion de votre prochaine session annuelle, je souhaite de fructueux travaux et vous remercie de votre aimable attention.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 22 avril 2009